Quelques notions sur le Yi Jing

Par YU WEI.

Le Yi Jing (traité des changements) est probablement le plus vieux livre de l’humanité. Ecrit non pas avec des mots et des phrases, ni même des caractères, mais avec des traits pleins ou brisés, il aurait environ 5000 ans (ou 3000 selon d’autres sources). On dit que le premier empereur, Fu Xi, vit sortir du fleuve jaune un cheval-dragon portant sur son dos une représentation faite à partir de cercles et de carrés, blancs ou noirs. Le dessin qu’il en fit est appelé Ho Tou (le diagramme du fleuve). On dit aussi qu’il leva le regard sur le ciel afin d’étudier les signes (le mouvement du soleil et des astres) et qu’il posa les yeux sur la terre étudiant les mouvements de l’ombre dudit soleil (plus tard, Cang Jie, le ministre de l’empereur jaune découvrira les caractères chinois en examinant les traces laissées par les animaux sur le sol ; cf. La rubrique de caractères PdH n°4), obtenant le premier cadran solaire ;

« notant que l’ombre atteignait sa plus courte longueur au milieu du jour, il appela ce moment midi et, tout naturellement, fit face au sud, là où le soleil se trouve à cette heure. Ainsi l’Ancêtre avait le levant à sa gauche et le couchant à sa droite. Constatant ensuite que, chaque jour, le soleil se levait à l’est et se couchait à l’ouest, il comprit que le demi-cercle parcouru dans la journée se continuait par un autre, pendant la nuit, allant d’ouest en est par le bas : l’Ancêtre avait son horloge. Ayant défini les deux axes perpendiculaires midi-minuit et aube-crépuscule, il les reporta alors au sol, sur le carré, où ils devinrent les axes sud-nord et est-ouest. Ainsi apparut l’identité des axes du temps et de l’espace, qui définissent la croix taoïste. » J.Lavier. Le livre de la Terre et du Ciel.

Il remarqua que le soleil dans ses révolutions marque le jour et la nuit dans un cycle de 24 heures (la journée compte douze fois deux heures pour les chinois) et les différentes saisons durant l’année (cf. la rubrique de l’hexagramme PdH n°10). Il en tira donc les notions liées au temps et le symbole associé : le cercle dont l’emblème est le compas. Ensuite regardant la terre, il nota les quatre directions (avant, arrière, droite et gauche) qui font, si on réunit les lignes qui les forment, un carré dont l’emblème est l’équerre.

Notons d’ors et déjà que cet ancêtre est représenté avec de cornes (cf. l’étymologie du terme) et avec le corps d’un serpent ; on le trouve ainsi enlacé avec son épouse, lui tenant un compas et elle une équerre, symboles géométriques du yang et du yin.

« Ainsi, le premier des hommes, Fohi cristallisa la Tradition Primordiale (…) Il importe de dire dès maintenant que Fohi n’est ni un homme ni un mythe, mais la désignation d’un agrégat intellectuel, comme fut ailleurs Hermès. » La voie métaphysique, p.13. Matgioi

 

La composition :

Le YiJing se compose de 64 hexagrammes. Un hexagramme est un groupe de six traits horizontaux entiers ou brisés au-dessous duquel se trouve un nom (ming) ; en relation avec chacun des six traits qui le composent une courte sentence (yao ci). Voilà le corps du texte fondamental. Ensuite, au fil du temps, se sont greffés le jugement (ou formules déterminatives, tuan) et l’image (ou formule symbolique, xiang) ainsi que les ‘commentaires sur les paroles’ (wen yen) pour les deux premiers hexagrammes. Enfin, de la fin des Zhou jusqu’au Han environ, vinrent s’ajouter les appendices, les réflexions philosophiques (xi ci), le discours (ou discussion) sur les hexagrammes (shuo gua), l’ordre des hexagrammes (xiu gua) et les notes sur les hexagrammes (za gua). Le tout étant appelé les ‘dix ailes’.

 

Les caractères :

YI : (Ricci 2356, rad 72). Facile, simple, paisible, échanger, changer. « Traditionnellement conçu comme représentation d’un caméléon » Ryjik. L’idiot chinois.

« Yi est le caméléon (ne pas confondre son gros œil avec le soleil du caractère yang), symbole de changement, de transformation.» Lavier. Op cit.

« Figure d’un lézard, probablement le caméléon. Primitive. En haut, la tête ; en bas, les pieds agiles du reptile. » Wieger. Caractères chinois.

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-00-41- Yi Jing

JING : (Ricci 979, rad 120). Chaîne d’un tissu, méridien, vaisseaux d’un corps, règle constante, livres canoniques.

« Le premier sens de Jing est : chaîne d’un tissu. La chaîne étant orientée du Sud au Nord, Jing signifie aussi : méridien. La chaîne et la trame d’un tissu s’entrecroisent comme le font les vaisseaux organiques, d’où le sens de : artères, veines. La règle immuable du tissage est que les fils de chaîne et de trame s’entrecroisent régulièrement, d’où le sens de : règles constantes. Les règles constantes selon lesquelles on doit agir sont formulées dans les livres canoniques qui ont été désignés par le caractère Jing. » Morel. Le champ du signe.

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-00-55- Yi Jing

La formation des trigrammes :

Au début est le Dao ; innommable (Dao de jing 1), éternel, infini on ne peut rien en dire. Sa toute première manifestation est Tai yi qui correspond à l’unité (1), ensuite le yin-yang, les deux emblèmes (2) que le Yi jing écrit comme ceci : ____ yang (trait plein) et __ __ yin (trait brisé).

Ce sont les monogrammes de base (liang yi : les deux emblèmes) dits nonaire (yang) et hexaire (yin).

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-01-03- Yi Jing

Si on ajoute un trait au-dessus, on obtient les bigrammes (si xiang : les quatre images ou symboles).

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Lorsqu’on place les bigrammes sur la croix, on obtient ça :

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Remarquons le trait oblique qui sépare les bigrammes yang (avec un trait plein pour base) et les bigrammes yin (trait brisé pour base) et notons la similitude avec le dessin du yin-yang circulaire : La croissance du yang à gauche et la croissance du yin à droite. Sur cette croix on peut placer les orients : le sud en haut, le nord en bas, l’est à gauche et l’ouest à droite. (Notion d’espace lié au carré).

Si on recommence l’opération, on obtient les trigrammes (ba gua : les huit trigrammes).

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-01-15- Yi Jing

Ils sont respectivement : (cf. Exercices de santé du kung fu, G.Charles p.100-108)

  1. Qian, le ciel (la perfection active), le père, le sud, le cheval, vigueur dynamique
  2. Dui, le lac (marais), 3e fille, sud-est, le mouton, le joyeux
  3. Li, le feu, fille cadette, est, oiseau, ce qui adhère
  4. Zhen, le tonnerre, fils aîné, nord-est, le dragon, l’éveilleur
  5.  Sun, le vent, fille aînée, sud-ouest, le chat, le doux
  6. Kan, l’eau, fils cadet, ouest, le cochon, l’insondable
  7. Gen, la montagne, 3e fils, nord-ouest, le chien, l’immobilisation
  8. Kun, la terre (la perfection passive), la mère, nord, la vache, le réceptif

Rapport des traits et des 5 mouvements : Le yang produit le feu et le bois et le yin produit le métal et l’eau.

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De la même façon le bigramme feu produit un trigramme feu yang (qian, 3 traits nonaires) et un feu yin (dui, 2 traits nonaires et un trait hexaire), le bigramme eau produit le trigramme eau yin (kun, 3 traits hexaires) et un eau yang (gen, 2 traits hexaires et un trait nonaire), le bois produit le bois yang (li) et le bois yin (zhen), le métal produit le métal yin (kan) et le métal yang (sun).

La terre, quant à elle, se trouve déjà présente au sein du yang et du yin, elle est le pivot central, l’élément producteur et transformateur des autres agents.

Formations des trigrammes : Ce schéma se lit de bas en haut : Les deux monogrammes donnent les quatre bigrammes qui, à leur tour, donnent les huit trigrammes. Notons le nombre qui leur est associé en fonction de son organisation interne (nb et place des traits yang ou yin) et sa position sur le cercle (voir plus bas). Le trigramme définit une situation par son trait médian (manifestation) par rapport au Ciel (trait supérieur, essence) et à la Terre (trait inférieur, substance).

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-01-25- Yi Jing

On peut placer ces huit trigrammes sur un octogone avec les trigrammes à base yang à gauche et ceux à base yin à droite. On considère que le trait inférieur est interne et le trait supérieur externe (du centre vers la périphérie). D’autre part, nous remarquons que l’addition des nombres associés aux trigrammes deux à deux fait toujours neuf.Capture d’écran 2017-09-30 à 19-01-34- Yi Jing

Si, comme nous l’avons vu, le carré représente l’espace, le cercle marque le temps. (Ici l’octogone combine les qualités du carré et du cercle, de l’espace et du temps. cf. l’encadré). Ainsi, cette disposition correspond d’abord au mouvement du temps sur la journée, l’axe vertical est 12h-24h et l’axe horizontal est 6h-18h (les diagonales étant 15h, 21h, 3h, et 9h). Mais il n’est pas seulement une horloge, il est aussi un calendrier. En effet, dans ce cas l’axe vertical représente les solstices d’été et d’hiver et l’axe horizontal représente les équinoxes de printemps et d’automne. Les quatre repères restant correspondent aux débuts des saisons dans le calendrier chinois. (cf. La Page du Hérisson consacrée). Concernant la notion d’espace, la figure marque clairement ce que nous appelons habituellement ‘la rose des vents’.

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-01-45- Yi JingLe cercle représente le ciel et le temps qui est marqué par le nombre 12, alors que le carré représente la terre et l’espace dont le nombre est 4.
La conjonction du cercle et du carré produit cela et nous amène à l’octogone. En mathématique on dirait que 8 est la moyenne arithmétique entre 12 et 4. 12+4 :2=8

Si l’on sépare les trigrammes à base yang et ceux à base yin, d’une part et d’autre part ceux dont le trait médian est yang ou yin, on obtient ceci :

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-01-58- Yi Jing

Un premier axe quasi vertical (~22°30’qui est l’inclinaison du plan de l’écliptique) et un second axe proche de l’horizontal. Remarquons à propos de ces trigrammes que les traits inférieurs yang sont à gauche, car le yang prédomine à l’est et que les traits yin sont à droite (prédominance du yin à l’ouest) que les traits médians yin sont en bas et yang en haut et que les traits supérieurs alternent du yin vers le yang à gauche (croissance du yang) et du yang vers le yin à droite (croissance du yin).

Après la découverte des trigrammes par Fu xi, c’est à Wen Wang que l’on doit une partie importante du travail sur le Yi Jing. Ce roi, père de Wu Wang le fondateur de la dynastie des Zhou en 1121 av. JC, fut emprisonné par le tyran Zhou et passa son temps d’incarcération à réfléchir sur le Yi Jing. C’est lui, ainsi que son fils le duc de Zhou, qui donna au livre son sens moral. Il disposa les trigrammes différemment (disposition dite du ciel postérieur, hou tian ; alors que celle de Fu Xi est dite du ciel antérieur, xian tian). Il est dit que la disposition de Fu xi correspond au monde ‘nouménal’ (tel qu’il devrait être), alors que celle de Wen wang correspond au monde ‘phénoménal’ (tel qu’il est).

« Ce qui est prédit (…) fait partie du destin et demeure dénué de signification morale. Du jour où il s’est trouvé quelqu’un en Chine pour ne pas se satisfaire des signes prédisant l’avenir et pour poser la question : Que dois-je faire ? Le livre de divination s’est transformé en livre de sagesse. » R. Wilhelm, Yi King, introduction.

 

Disposition du roi Wen :

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-02-05- Yi Jing

Enfin, si on place un trigramme sur chacun des autres trigrammes on dispose des 64 hexagrammes représentant la multiplicité de la manifestation. L’ouvrage dit Yi Jing est l’établissement des 64 hexagrammes dans un ordre donné avec les commentaires associés.

« Chaque hexagramme est composé de deux trigrammes, un inférieur et un supérieur : Par rapport à l’ensemble l’inférieur décrit le yin, la terre, le bas, la profondeur, la base, l’origine, la cause, l’essentiel, le tronc, l’hôte, l’intérieur, l’arrière, la droite ; le supérieur décrit le yang, le ciel, le haut, la surface, l’apparence, le secondaire, le but, l’effet, la branche, l’invité, l’extérieur, l’expression, l’aspect, le devant, la gauche. » H.Strom, significations des noms des 64 hexagrammes du Yi Jing.

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-02-14- Yi Jing

L’intérêt principal du Yi Jing ne réside pas dans sa capacité à répondre à une question donnée même si c’est l’aspect le plus ‘ludique’ de son utilisation ainsi que son utilisation la plus ancienne. D’ailleurs, cela demande de respecter certains critères de paix intérieure et de calme extérieur, de concentration… Le maniement des baguettes d’achillée reflète le supra-conscient du manipulateur qui doit être en relation avec la force du Ciel et de la Terre par le biais des tiges végétales qui ont poussées sur la terre grâce aux influences du ciel.

Nous l’avons vu, la première fonction de ce livre depuis de nombreux siècles est la divination. A partir de manipulation de tiges d’achillée, le devin répondait à une question ou plutôt interprétait le résultat d’une combinaison numérique de la même façon qu’il pouvait le faire en examinant les craquelures provoquées par le feu sur une carapace de tortue. Par la suite, les confucianistes en donnèrent une interprétation cosmologique, métaphysique et morale. Ainsi le Livre ne cessera plus d’être utilisé dans de nombreux domaines de la vie chinoise. En effet, la Chine étant essentiellement agricole, les thèmes tels que le changement, le retour, les cycles de croissance et décroissance, d’apogée et de déclin rappellent le mouvement des saisons et les alternances des climats ainsi que mouvements des astres solaire et lunaire et sont donc parfaitement perçus.

Vers la période des Royaumes combattants, l’école du Yin-Yang continue d’utiliser le Yi Jing à des fins divinatoires. En 213 av, le Yi Jing a été épargné lors de la destruction des classiques par Qin shi wang di, probablement du fait de son utilisation technique. Ensuite, sous les Han, Tong tchong-chou fit une sorte de synthèse entre l’école des confucianistes et celle du yin-yang :

« Dans l’univers, sont les éthers du yin et du yang. Les hommes y sont constamment immergés, comme un poisson à l’intérieur de l’eau. La différence entre les éthers du yin et du yang et l’eau est celle-ci : L’eau est visible, tandis que les éthers sont invisibles.»Tong Tchong-chou. Chun Qiu fan lu chap. 81 cité par Fong yeou-lan.

Durant cette période, c’est le confucianisme qui est à l’honneur, bien qu’il ait notablement évolué depuis son origine. La preuve en est dans la confrontation entre les deux tendances dites ‘des textes nouveaux et des textes anciens’ qui se rapprochent de Meng zi (tendance idéaliste) ou de Xiun zi (tendance réaliste). Par exemple Yang Hiong (53av. 18ap.) un auteur de l’école des textes anciens fait siennes les idées liées au Livre des changements. Cela va donner une nouvelle vigueur au taoïsme au 3e et 4e siècle sous le nom de Xuan Xue, l’enseignement obscur, que l’on va nommer ‘néo-taoïsme’. L’un des grands penseurs de cette période est Wang Bi qui va commenter le Lao Zi et le Yi Jing. C’est lui qui affirme que Kong zi aurait découvert le Yi Jing tard dans sa vie et que dans son enthousiasme, ce grand sage d’habitude si pondéré aurait par trois fois brisé les liens qui servaient à relier les tablettes de bambou sur lesquelles était inscrit le livre.

Sous les Tang, les besoins spirituels ont changés, il y eut la montée du bouddhisme et le renouveau du taoïsme qui s’y opposait dans une certaine mesure. Le confucianisme était resté la doctrine du pouvoir, (système d’examens, érection d’un temple de Confucius dans l’université impériale, édition officielle des Classiques par l’empereur Tai Tsong) mais devait s’adapter pour répondre aux interrogations concernant les aspects métaphysiques de la nature et du destin de l’homme. Les classiques dont le Yi Jing se sont vus alors réinterprétés, le temps des ‘néo-confucianistes’ était venu. Plus tard, sous les Song, une autre tendance néo-confucianiste apparait avec les cosmologistes. Tcheou Touen-yi et Chao yong ont développé leurs théories cosmologiques à partir du Yi Jing. Le premier est l’auteur du diagramme dit Taiji (le faîte suprême) qu’il met en relation avec l’Appendice 3 du Yi Jing et qu’il interprète ainsi :

« Wuji produit taiji, taiji produit le yang par le mouvement. Ce mouvement ayant atteint sa limite est suivie du repos, et par ce repos est produit le yin. Le repos ayant atteint sa limite retourne au mouvement. Ainsi mouvement et repos deviennent en alternance la source l’un de l’autre. La distinction entre le yin et le yang est délimitée et les deux formes apparaissent révélées. » Œuvres complètes chap.1.

Chao Yong quant à lui insiste sur les 12 hexagrammes souverains qui président aux 12 mois et marquent la croissance/décroissance du yang et du yin durant l’année (cf. l’utilisation dans la petite révolution céleste). Il se sert du passage de l’Appendice 3 qui explique :

« Dans l’Unité [Tai yi] réside le Faîte ultime [Tai ji]. Le Faîte ultime produit les Deux formes [Liang yi]. Les Deux formes produisent les Quatre emblèmes [Si xiang]. Les Quatre emblèmes produisent les Huit trigrammes [Ba gua]. »

Tchou Hi (1130-1200), père du système philosophique à l’honneur jusqu’au début du 20e siècle fait aussi quelques commentaires sur le Livre des changements et utilise l’Appendice 3 comme fondation de son système cosmologique. On le voit, les commentaires et interprétations ont été nombreux et changeants au fil du temps et en fonction des tendances, mais la structure du Livre est restée inchangée, centre immobile au milieu des multiples transformations. Transformations marquée par la succession indéfinie des trigrammes ou des hexagrammes qu’il ne faut surtout pas voir comme des choses figées, mais comme des mouvements qui renseignent sur des tendances évolutives.

Un exemple de l’utilisation des 12 hexagrammes souverains dans la forme de méditation de la petite révolution céleste. (traité d’énergie vitale. Georges Charles)

Capture d’écran 2017-09-30 à 19-03-07- Yi Jing

 

Bibliographie sommaire :

  • Yi king, de Philastre
  • Yi king de Wilhelm et Perrot
  • Yi king, de Ch. de Harlez
  • Yi king chinois- français
  • divination chinoise par le Yi-king, Yüan kuang
  • Le livre de la Terre et du Ciel, J. Lavier
  • Significations des noms des 64 hexagrammes du yi Jing, H. Strom
  • Le ciel, la terre et l’homme dans le livre des transformations, H. Wilhelm
  • La voie métaphysique, Matgioi
  • Ciel/Terre/Homme Le YIJING, Marie-Ina Bergeron
  • Les chinois, Claude Larre.
  • Précis d’histoire de la philosophie chinoise, Fong Yeou-Lan
  • Exercices de santé du kung fu, Georges Charles
  • Traité d’énergie vitale, G. Charles.

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