Pour en savoir un peu plus sur la pratique.

 

Cette pratique est-elle destinée à toutes et tous ?

Oui, à la différence de la plupart des activités sportives où à partir de trente ans on fait figure de vétéran, il est tout à fait possible de réellement pratiquer jusqu’à un âge avancé. Elle permet surtout de vieillir en restant jeune et de continuer à progresser. Certains enseignants proposent des cours pour les enfants.

 

Est-ce une pratique violente ?

Non, en trente ans nous n’avons déclaré aucun accident. Et nous faisons en sorte que cela continue. Wushu signifie « art capable d’arrêter la violence » et nous respectons ce sens mot à mot. Mars n’a rien à faire chez nous. C’est pourquoi nous préférons le terme chevaleresque au terme martial. Nous sommes un art de vie et non un art de mort. Nous préférons donc la vivification à la mortification. Et nous le revendiquons.

 

Peut-on choisir une seule forme de pratique ?

Bien évidemment, à l’origine toutes ces pratiques, kung-fu Wushu externe et interne, Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong), armes traditionnelles, méditation active, Feng Shui, massages, diététique du Tao, étude des classiques, calligraphie…faisaient partie d’un même ensemble. De nos jours il est difficile de tout embrasser à la fois et surtout en même temps. Nous vous proposons donc de les découvrir globalement ou peu à peu. Et nous vous conseillons sur la pratique qui, pour l’instant, vous correspond le mieux.

 

Peut-on commencer la pratique en cours d’année ?

Oui car, suivant la tradition, nous respectons les cycles saisonniers ce qui permet de s’inclure en permanence dans les cours et stages. Et il faut bien commencer un jour : celui qui vous convient et qui est le premier jour de votre pratique. C’est très important et nous le respectons. Après, nous en reparlerons d’ici plusieurs années.

 

Peut-on obtenir des grades et des diplômes ?

Ce n’est pas le but de notre pratique ni de notre enseignement. Nous ne vendons pas de ceintures. Et nous ne nous en portons pas plus mal depuis plus de trente ans.

Par contre les Associations qui représentent cette pratique et ces pratiques au sein de la Convention des Arts Classiques du Tao peuvent vous fournir des attestations de pratique et d’enseignement qui ont, juridiquement, la même valeur que celles fournies extérieurement par les associations dites fédérations puisqu’à ce jour aucun diplôme officiel n’existe les concernant.

 

A quelle Fédération êtes vous affiliés ?

Si vous consultez les archives de ce site vous vous rendrez compte, preuves à l’appui que, concernant l’Ecole San Yiquan, nous avons été successivement affiliés à une douzaine de fédérations diverses et variées ( Judo, Judo-Karaté option « Kung-Fu », Kung-fu Kempo, Boxe Chinoise, Kung Fu Wushu, Ritsu Zen, Karaté FFKAMA, Tai Chi Chuan FFTCCT, Qigong…) et que nous avons préféré, en connaissance de cause, reprendre notre liberté et notre autonomie. Nous nous sommes regroupés à, plus d’une quarantaine d’associations déclarées, au sein de la Convention des Arts Classiques du Tao. Nous aurions évidemment, et depuis très longtemps, créer une « Fédération » de plus. Et surtout de trop. Nous ne l’avons pas fait par respect pour la pratique et surtout pour les enseignants et les pratiquants. Lorsqu’une fédération concernant réellement nos pratiques verra le jour démocratiquement et correspondra aux simples critères de liberté et de moralité, nous aviserons. Pour l’instant nous ne pouvons que constater l’absence d’une telle fédération et nous maintenons la position.

 

Cette pratique a-t-elle un lien avec la Chine ?

Elle en a de nombreux puisque nous nous référons à la Chine classique. Mais nous ne sommes inféodés à quiconque et ne prenons nos ordres nulle part. Notre pratique s’exerce en France, dans la communauté européenne et à l’étranger. Nous avons de nombreux contacts avec des Chinois et des Maîtres et Experts chinois mais cela se situe toujours sur un plan humain et dans le respect et la prospérité mutuelle. De ce fait, chacun est libre chez lui.

Et sur le plan de la Liberté nous n’avons de leçons à recevoir de personne…
Ce qui n’empêche pas plusieurs de nos enseignants de travailler et d’enseigner en Chine.

 

La Pratique : Pour nous elle est essentielle.

Il est possible de former des enseignant(e)s mais nous préférons avant tout former des pratiquant(e)s comme cela s’est toujours fait, en Chine, depuis des millénaires. Si ces pratiquants devenus confirmés souhaitent, à leur tour, enseigner ils sont invités à seconder un enseignant en titre en tant qu’assistant(e).

De ce fait ils continuent à pratiquer en apprenant à enseigner. Tous nos enseignants sont « sortis du rang » et bénéficient donc de plusieurs années de pratique assidue tant en cours hebdomadaires qu’en stages. Nous ne formons donc pas de « docteurs », d’ « ingénieurs » ès « Kung-Fu » ou « Qigong » en quelques stages de quelques heures puisqu’il faut un minimum de trois années d’étude d’à peu près de huit heures d’études par jour et à cinq jours de travail par semaine pour obtenir un CAP (Certificat d’Aptitude Professionnelle) qui est le minimal que l’on puisse attendre d’une formation professionnelle représentative dans la « vraie vie », dite active, et dans le monde du travail.

Nous ne formons pas de « Maître » en trois stages. Et nous en sommes désolés. D’autres savent probablement le faire. Nous pas. Mais nous demeurons attachés au système classique où on différencie encore

  • L’étude de la pratique
  • La pratique
  • Les réalisations personnelles dans la pratique

Il convient, en effet, suivant les enseignements de Wang Yang Ming (1472 1529), que nous respectons, de savoir avant de comprendre donc de « voir avant de prendre ». Apprendre à faire, faire, savoir faire et éventuellement faire savoir demeurent les piliers de notre pratique. Chacun est, enfin, libre de choisir comment il souhaite se réaliser au travers de sa pratique personnelle. C’est le sens authentique du terme « Kung-Fu » où l’Etre Humain adulte et conscient (Fu ) se réalise au travers de son Oeuvre (Kung).

Si l’enseignement est perçu comme le moyen de se réaliser au travers de la pratique, nous favoriserons cette vocation. Mais il existe au sein de notre Ecole des Anciens qui pratiquent depuis plus de vingt ans et qui trouvent d’autres moyens de se réaliser. Nous respectons leur vocation.

 

L’organisation de la pratique : Elle est très importante.

La pratique ne peut s’exercer que dans des conditions favorables à son épanouissement. Nous savons, par expérience, que changer de lieu de cours, donc de club ou d’enseignant en milieu d’année n’est pas la meilleure chose qui soit pour les pratiquants et moins encore pour ceux qui commencent la pratique.

Nous savons également que le meilleur professeur du monde ne pourra transmettre son enseignement que si il est présent au cours et, si possible, à tous les cours. Si le cours est, en permanence, dirigé par le 70eme assistant en remplacement du Grand Maître, ou simplement et plus modestement de l’enseignant en titre, il ne faut pas s’attendre à des miracles dans la progression personnelle. Nous privilégiions donc la présence sur le terrain de nos enseignants aux titres ronflants qui n’ont, par ailleurs, aucune validité juridique ni professionnelle.

La ceinture noire, par exemple, était totalement inconnue en Chine jusqu’à cette dernière décennie et nul n’y a jamais décerné le titre de « Maître ». Nous préférons agir dans le domaine associatif qui représente une réalité de terrain. Chaque enseignant est donc autonome mais agit au sein de l’Association qui le mandate et qui organise la pratique et les conditions matérielles de la pratique en coordination avec la Convention des Arts Classiques du Tao. Celle-ci représente donc une quarantaine d’enseignants et une quarantaine d’Associations déclarées en Préfecture. Ces Associations traitent avec les municipalités, les instances publiques, les organisations  professionnelles afin de définir ces conditions matérielles de pratique et de les faire respecter telles qu’elles ont été définies de part et d’autre.

Concernant les Associations sans but lucratif régies par la Loi de 1901, et le fait de s’associer suivant leurs règles, nous aimons à rappeler qu’il s’agit non seulement d’un droit mais d’un devoir constitutionnel (inscrit dans la Constitution de la Ve République).

 

Les différents cours proposés :

Chaque Enseignant des Arts Classiques du Tao est libre de concevoir les cours qu’il propose au sein de son Association et ne se prive pas pour y apporter sa touche personnelle, son « Kung-Fu », donc son savoir faire. Il s’agit, à chaque fois, d’un enseignement personnalisé même et surtout si celui-ci respecte les règles de la transmission d’une Ecole Classique.

Donc pas de « photocopies » du « Maître » comme cela se produit trop souvent et où le secondaire, sinon, le superflu et les apparences priment sur l’essentiel : le rapport humain au sein d’une communauté humaine et de la nature.

Art du Poing Externe : Wai Jia Kung-Fu Wushu

l’Externe correspond au « Kung-Fu Wushu », Art Chevaleresque Chinois de tendance Bouddhiste tel qu’il fut développé dans le Monastère de Shaolin puis dans les différents Monastères et, enfin dans les multiples Ecoles de l’Art du Poing. Au sein de l’Ecole San Yiquan nous transmettons les bases fondamentales de Trois (San) Ecoles issues de ce mouvement :

Hung Gar Chuan (Honjiaquan)

ou « poing de la Famille Hung » issu du Shaolin du Sud (Monastère Julianshan du Fujian) suivant le transmission de Wang Tse Ming et les enseignements complémentaires apportés par Yuen Yik Kai et Chan Hon Chung dans les années 1970 à Hong Kong. Nous transmettons, en particulier, la Forme Classique du  » Poing du Tigre et du Héron » (Fu Hok Sheun Yin Chuan) suivant la version de Lam Sai Wing (Lin Shi Rong) le disciple préféré de Wong Fei Hung.

Tang Lang Chuan

ou « Mante Religieuse des Sept Etoiles du Nord »
(Pei Qi Xing Tang Lang) suivant la transmission de l’Héritage familiial de Wang Tse Ming ( descendant du Clan du Marquis Wang de Yue près de Hangzhou). Cette étude inclut la pratique des Armes Traditionnelles du Clan Wang de Yue : Bâton long et Epée des Sept Etoiles du Nord. Certains enseignants transmettent également l’Eventail, le Sabre et la Lance de Tang Lang.

Wing Chun Chuan

ou « Poing du Printemps Radieux » également transmis par Wang Tse Ming et étudié à Hong Kong dans les années 1970 sous la direction de Tang Sang et de Leung Ting.

Ces trois Ecoles importantes bien qu’issues du courant Externe (Waijia ou Wai Chia) n’en comportent pas moins un travail énergétique de premier plan. Issues d’une longue tradition elles en contiennent les fondements essentiels (travail de base basé sur le Yin/yang ; les Trois Trésors, les Quatre Orients, les Cinq Eléments, les Six Energies Périphériques, les Sept Niveaux de Compréhension, les Huit Images Célestes…). Elles représentent également le coeur de la fameuse « Tradition Chevaleresque  » (Wu De) du « Kung-Fu Wushu » tel qu’il devrait être enseigné.

Les « formes » (Tao, Lu ou Doan) transmises représentent également un «  »Qigong » authentique et de premier plan puisque bénéficiant d’une expérience sans pareille au sein d’un Monastère (Shaolin du Sud), d’une Famille (Clan du Marquis Wang de Yue) d’un Style exceptionnel et reconnnu (Wing Chun) et d’une Ecole (San Yiquan). Certains pratiquants et enseignants d’Interne méprisent l’Externe qu’ils trouvent « grossier », parce qu’ils ne le connaissent pas, mais suivant Laozi (Lao Tseu) dans le Daodejing (Tao Te King) :

« Le grossier est la racine du subtil » .
J’ajouterai qu’il est préférable de rechercher ce qui est subtil dans ce qui semble grossier que de se contenter de la grossièreté du subtil !

Il est à noter que des Enseignants de la Convention des Arts Classiques du Tao transmettent également d’autres Ecoles et Styles d’Externe au sein de leurs cours.

Art du Poing Interne : Neijia Kung-Fu Wushu

Il s’agit principalement de la transmission de la Forme d’Interne de l’Ecole San Yiquan rattachée d’une part aux pratiques chevaleresques de l’art du poing de tendance Taoïste et, d’autre part, aux pratiques énergétiques de santé, de bien-être et d’éveil. Ces deux pratiques sont complémentaires et étaient enseignées conjointement, en Chine, avant 1949. Mais depuis beaucoup d’eau trouble est passée sous les ponts.

San Yiquan : « Poing des Trois Harmonies »

C’est la transmission en ligne directe de la tradition du Xingyiquan (Hsing I Chuan) de forme évolutive (Ziran Men) initiée par Li Lo Neng (Li Neng Jan) (1842 1919), Guo Yunshen (Kuo Yun Shen ou Fo Jun Sha) (1864 1939), Wang Xiangzhai (Wang Xiang Chai) (1885 1963) et léguée à Georges Charles (Cha Lishi) par Wang Tse Ming (Tai Ming Wong) (1909 2002), descendant direct de Wang Yang Ming (1472 1529).

San Yiquan comporte l’enchaînement complet de « La Genèse et du Grand Flux », tel que décrite par Liezi (La Genèse des Mondes), et incluant la pratique de la Posture de l’Arbre (Zhan Zuang ou Zhan Chan) et le travail fondamental des Cinq Mouvements de l’Energie (Wuxingquan ou Wu Hsing Chuan).

Il s’agit donc de l’un des Trois Arts du Poing de l’Interne puisque cette Ecole représente le Xingyiquan ((Hsing I Chuan).

Les deux autres étant le Taijiquan (Tai Chi Chuan ou « Taichi »), le « Poing du Grand Faite, et le Baguazhang (Pa Kua Tchang) le Poing des Huit Trigrammes.

Les Enseignants certifiés San Yiquan au sein de la Convention des Arts Classiques du Tao transmettent cette forme particulière qui est et demeure une cousine du « Yiquan » (Yi Chuan), du « Dachengquan » (Ta Cheng Chuan) du « Taïkiken » (Sawai) du « Liannanquan » qui proviennent toutes de l’enseignement originel de Wang Xiangzhai, disciple de Guo Yunshen lui-même disciple de Li Nengjan qui créa le Dachengquan à partir du Xingyiquan. Puis qui reprit, par la suite, le Yiquan qui était le nom de l’Ecole de Li Nengjan.

Li Nengjan : Yiquan (I chuan ou Yi Quan) : Poing de l’Intention
Guo Yunshen: Wuxingquan (Wou Hsing Chuan) : Poing des Cinq Eléments
Wang Xiangzhai : Dachengquan : Poing du Grand Dénouement puis à partir de 1949 reprise de Yiquan (le nom de l’école du Maître de son Maître)
Sawai Kennichi : Taikiken ; Xingyiquan en japonais
Wang Zemin : Liananquan (Lien Han Chuan) : Poing des Générations circulaires
Georges Charles : San Yiquan : Poing des Trois Unités ou des Trois Harmonies.

Elle est présente en France depuis 1949 grâce à Wang Tse Ming (Tai Ming Wong) et représentée officiellement depuis 1979 par son successeur en titre Georges Charles.

Historiquement, qu’on le veuille ou non, elle est donc, en France, et probablement en Europe et hors de Chine, si on excepte le Japon (Sawai), la première sur le terrain.

Elle inclut également la pratique du « Bâton de l’Interne » ou « Lance fondue à un crochet de Yue Fei » (Yue Fei Gulianjiang) transmise héréditairement au sein du Clan Wang de Yue dont un ancêtre recueillit et adopta Yue Fei (Yue Shou Mou Wang) (« Yue adopté et recueilli par Wang »). C’est l’un des Joyaux (Pao) de San Yiquan puisque cette forme de lance fut, suivant la tradition, à l’origine profonde du Xingyiquan (Hsing I Chuan).

Ce qui n’ empêche pas certains enseignants de transmettre également le Taijiquan (Tai Chi Chuan ou « Taichi ») dans diverses tendances ainsi que d’autres formes de « Qigong » (Baduanjin (Huits Brocards de Soie ;Yijinjing Xisuijing (nettoyage muscles et tendons) ).

Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong) du Lingbaoming.

Il s’agit d’une forme complète de « Qigong » (Travail Energétique) représentant l’une des trois grandes tendances du courant des Praticiens du Tao (Daoshi) et remontant au XIIIe siècle. Cette forme complète est celle du « Lingbaoming Siu Dan Pai Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong) » (« Travail Energétique de la Petite Réalisation du Cinabre du Joyau Ecarlate ». Elle inclut des travaux saisonniers et des pratiques particulières de régénération et de purification ainsi qu’une étude du Tao-Yin Fengshui (énergétique de l’environnement) et des Charmes Taoïstes (Fu Lu Pai).

Les deux autres tendances étant Jindan (« Pilule d’Or ») et Maoshan (« Montagne de Longévité »). Il s’agit donc d’une forme classique qui est au « Qigong » ce qu’un banquet impérial au « fast-food ». Mais ce qui n’empêche nullement d’en tirer l’essence grâce à des formes de « synthèse » comme le Kai Men Shi (« Ouvrir les Portes de la Pratique ») ou le Yiyinfa (« Forme Préparatoire à la Nutrition »). Elle est donc accessible à toutes et tous mais permet également une spécialisation très avancée dans le domaine des pratiques taoïstes incluant diverses formes de méditation et de visualisation.

Pourquoi se satisfaire de peu ?

Cette forme est transmise entièrement ou en partie par les Enseignants Certifiés San Yiquan et les Enseignants Membres de la Convention des Arts Classiques du Tao.

Les cours hebdomadaires, stages de Week-end et stages d’été. Ils représentent le lieu et le moyen de l’étude de la pratique et sont le complément indispensable d’une pratique personnelle et personnalisée.

Chaque Enseignant propose, au sein de l’Association qu’il représente, un cursus de cours et de stages. Les cours sont, en moyenne, d’une heure à une heure trente de travail dirigé. Les stages de Week end représentent une dizaine d’heures de cours dirigés. Les stages d’été représentent près de trente heures de cours dirigés et de travail en groupe.

La fréquence de ces cours et stages dépend de chacun de ces enseignants. Il convient, en moyenne, de suivre au moins un cours par semaine afin d’envisager une progression « normale » mais il est évidemment possible de suivre plusieurs cours par semaine et ceci dans une ou plusieurs pratiques proposées au sein des Associations.

Les stages de Week end et les stages d’été permettent de se perfectionner et de rencontrer d’autres pratiquants, des anciens et d’autres enseignants. Ils sont organisés soit par l’Association qui invite le « maître de stage » soit par l’Institut des Arts Martiaux Chinois Traditionnels, association mandataire de la Convention, et créée en 1978.

 

Tenue de pratique :

sauf indication contraire de l’enseignant un pantalon de survêtement et un T shirt suffisent. Il est préférable de se munir d’une paire de chaussons de pratique. Les Associations fournissent généralement les Bâtons de pratique dans le cadre des cours de bâton.

 

Support didactique :

De nombreux ouvrages ( 20 à ce jour sans compter plusieurs centaines d’articles parus dans la presse !) de Georges Charles ont été publiés sur la pratique et concernent tant l’Ecole San Yiquan que la diététique chinoise classique, le Feng Shui, les armes chinoises, l’auto-défense personnelle.

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