AVANT TOUTE CHOSE…

Avant toute chose, nous vous proposons de pratiquer.

 

Certains considèrent que la pratique est une sorte de station service sur l’autoroute qui mêne au bien être.

Il s’y arrêtent donc un moment, font le plein, visitent la boutique et repartent jusqu’à la prochaine station. Notre vision est différente puisque nous proposons de découvrir la pratique comme un territoire global avec ses villes, ses villages, ses lacs, ses collines, ses forêts, ses terroirs et surtout ceux qui y habitent depuis fort longtemps, parfois depuis des siècles. Ou au moins depuis plusieurs années. Cela mérite bien de prendre un peu de temps.

Nous ne sommes pas pressés. Nous existons en Chine depuis plusieurs siècles, notre école existe en France depuis plus de cinquante ans et l’Association qui la représente officiellement depuis près de trente ans.

Nous pourrions vous proposer du « Kung-Fu Shaolin », du « Chi Kung », du « Taichi » comme on vous propose du « Saké » au restaurant chinois ou des films de « karaté » avec Jacky Chan ou Jet Li. Car nous savons et nous pourrions « aussi » le faire et depuis fort longtemps.

Mais nous avons choisi de vous proposer autre chose. De vous proposer ce que nous pratiquons, ensemble, au sein des « Arts Classiques du Tao ». Une pratique respectueuse de la tradition chinoise classique. Une pratique respectueuse d’autrui et de l’environnement.

Une pratique qui plonge ses racines dans les Arts Chevaleresques, que l’on nomme vulgairement arts martiaux et dans les Art d’Eveil et de santé qui font désormais partie du patrimoine millénaire de la Chine et de l’humanité. Ceci en dehors de tout esprit sectaire, confessionnel ou politique.

Abandonnez donc ici les images du sergent chef instructeur et des marches en canard humiliantes dans un environnement sportif viril et uniformisé, du Gourou infaillible et nécessairement barbu prônant le riz complet ou des méditations nunuches avec volutes d’encens et musique New-Age. Vous seriez déçus. Venez simplement rencontrer l’un de nos enseignants et participer, sans engagement, à un cours d’essai.

Mais attention certains en ont déjà pris pour plus de vingt ans !

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Caresser le Dragon

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Taijiquan et Xingyiquan dans le parc d’un temple taoïste en 1924
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La posture de l’arbre
@ Photos Arts Classiques du Tao Reproduction interdite
Une pratique ancestrale en Chine qui, pendant longtemps fut réservée aux Mandarins !


• A L’ETRANGER


« On aurait pu vous dire tout de suite : le Qigong c’est ancien, c’est chinois, c’est super et ça sert à des tas de trucs comme se sentir mieux dans sa peau et à être super efficace au boulot. Mais on a quand même préféré vous donner quelques explications ! Si vous êtes trop pressé pour les lire, passez quand même nous voir un de ces quatre ! »Georges Charles

Les Arts Classiques du Tao : une appellation générique pourquoi ?
Simplement parce que nous vous proposons plusieurs pratiques regroupées au sein d’une même appellation.

A vous de choisir en connaissance de cause la ou les pratiques qui vous conviennent le mieux et que vous recherchez. Il est en effet difficile actuellement de se retrouver dans la jungle des termes asiatiques et de leurs transcriptions le plus souvent fantaisistes. Des termes similaires peuvent tout à fait représenter des pratiques différentes alors que des termes différents peuvent représenter des pratiques similaires !

Taijiquan et Qigong représentent deux pratiques fort différentes bien qu’issues originellement de Chine. Cette transcription est donc celle utilisée officiellement lorsqu’on transcrit les caractères chinois concernés en langue occidentale.

Elle est donc reconnue tant par la Chine que par les instances internationales.

Mais la « spécificité culturelle française » fait qu’il existe encore de multiples autres transcriptions issues généralement de l’Ecole Française d’Extrême-Orient (EFEO) ou des transcriptions anglo-saxonnes (Wade). Sans parler de la transcription des acupuncteurs de la vieille école et des phonétisations journalistiques arbitraires.

Pour Taijiquan (pinyin Zimu donc le « chinois officiel » – que l’on prononce par ailleurs Taille Tchi Tchuane ! ) On retrouve donc les transcriptions les plus diverses comme Tai Chi Chuan, Taïchi Chuan(FTCCG), Taï Chi Tchuan, Tai-Chi-Chuan (Antony), Tai Ki Tchuan (De Wespin) T’ai-ki k’iuan (Despeux et Etiemble !), Taidji Kuen, Tai Tchi Tchuan, T’ai Chi Ch’uan (Chen Man Ch’ing), T’ai-Chi Chuan (J.C.Sapin), Taikyokuken (Japon).

Passons sur les variations entre tirets, trèmas, apostrophes !


Et il en est de même pour le Qigong (pinyin zimu donc le « chinois officiel » – que l’on prononce par ailleurs Tchi Kongue ! ) :
Qi Gong (FTCCG), Chi Kong, Tchi Kong, Ki Kong, Dji Cong, Chi Cong, Trsi Gung, Chi Kung, Ki Kung..
.tous authentiquement relevés dans des ouvrages, prospectus et articles divers.

Nous éviterons le pensum avec le Gongfu ou Kung-Fu qui en possède une bonne quinzaine ! Sans parler des pratiquant(e)s branché(e)s qui déclarent « faire du Taï » ou « faire du Qi »

Comme on fait les pyramides ou la Thailande : En touristes.

D’autant plus que, par expérience, la plupart des personnes qui souhaitent « faire du taïchi » ne savent pas qu’il s’agit originellement d’un art martial (Quelle horreur !) puisque le théorème de base est le suivant :

 

« Tout chinois qui remue le matin dans un parc fait du taïchi ».

Or ces gens qui remuent dans un parc peuvent tout à fait pratiquer, souvent fort mal d’ailleurs, une douzaine de « choses » différentes dont les fameux « Tchi Kongue » !

Avouez que même un Jésuite chinois y perdrait son latin. Comme nous vous proposons d’étudier et de pratiquer plusieurs méthodes de « Qigong », de « Taijiquan », de « Kung-fu », de « méditation » et même de la calligraphie ou de la diététique nous avons décidé de regrouper tout cela dans une appellation bien française et donc même légale au regard de la « Loi Toubon » :

Les Arts Classiques du Tao !

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• LA PRATIQUE…



CE QUE VOUS APPORTE LA PRATIQUE :


Elle est avant tout un art corporel énergétique orienté vers le bien-être et la santé naturelle.

Régularisation du stress, contrôle de l’agressivité, équilibre physique et émotionnel, gestion du potentiel d’action, régénération de l’énergie par le contrôle en profondeur du souffle, maîtrise des émotions, ralentissement du processus de vieillissement corporel et cérébral, réduction des dépendances, augmentation des capacités intellectuelles, développement des perceptions sensorielles et extra sensorielles.

Capacité de mieux gérer les agressions de diverses natures et surtout d’en restreindre les conséquences.

Compréhension de la pensée chinoise donc des moyens et des stratégies utilisés tant dans la médecine chinoise que dans les affaires par l’application rationnelle et pragmatique des principes développés dans la stratégie de Sunzi (Sun Tsu).

Harmonisation de la relation corps/esprit au travers d’une pratique spirituelle évoluée dénuée de tout esprit sectaire.

Découverte des phénomènes de la nature et de l’influence énergétique des lieux.

Valorisation des capacités humaines dans les rapports avec autrui et l’environnement.
Eveil et méditation.

Et même suivant le terminologie chinoise classique « Alchimie interne » ou « Alchimie de l’Intérieur » (Neidan Gong).

Plusieurs orientations au sein d’une même pratique générique. Les Arts Classiques du Tao vous proposent donc plusieurs pratiques différentes mais qui s’incluent dans un contexte global.

Pourquoi ?

De tous temps ces diverses pratiques ont toujours constitué un ensemble inclus dans un mode de vie spécifique aux sages de la Chine ancienne. Par principe nous conservons cette vision des choses et respectons ce mode de pensée. Cependant nous sommes bien conscients que la plupart d’entre vous on autre chose à faire dans la vie que de se consacrer uniquement à l’étude et à la réalisation de la sagesse chinoise !

Il a fallu adapter ces pratiques orientales à la conception occidentale et surtout à un mode de vie actuel. Mais sans pour autant les affadir ou les dénaturer.

Et c’est là toute la difficulté donc le défi des Arts Classiques du Tao. Le Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong) (ou Daoyin Qigong) : Gymnastique énergétique chinoise. Il s’agit d’une
forme classique de « Qigong » (prononcer Tchi Kongue) issu de la tradition du Tao et représentant un école, le Ling Pao Ming, qui s’est structurée entre le XIe et le XIII e siècle mais qui s’est transmise de génération en génération jusqu’à nos jours.

On entend souvent dire que le « Qigong » est vieux de plusieurs millénaires.

C’est vrai dans le principe mais de nombreuses écoles sont nées la semaine dernière. Ou ont été recrées de toutes pièces il y a quelques années.

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Nous vous présentons une forme « classique » mais qui a l’avantage d’être représentée en France depuis 56 ans et transmise par des occidentaux depuis plus de trente ans.

Elle est donc à la fois réellement très ancienne si on se réfère à la tradition chinoise mais très jeune de par son dynamisme actuel. Elle possède aussi l’avantage de se référer à une transmission directe sans intermédiaires, ni traducteurs. Les explications et indications sont donc claires et précises. Chaque terme utilisé l’est en connaissance de cause.

La transmission de cette pratique s’est effectuée en France, en langue française, et au cours d’une dizaine d’années d’étude et de pratique auprès d’un maître chinois réputé et parlant parfaitement notre langue.

Elle bénéficie de supports pédagogiques exceptionnels au travers de plusieurs ouvrages de référence publiés en langue française.
Ouvrages de Georges Charles Elle est représentée en France, en Métropole et Outre-mer, au travers d’une quarantaine d’associations regroupées au sein de la Convention des Arts Classiques du Tao, dans la Communauté Européenne, ainsi que dans plusieurs pays francophones (Québec).

Il s’agit, au travers de postures, de mouvements, de séquences de faire circuler l’énergie vitale (le Qi ou Chi ou Ki ) au travers du corps (méridiens d’acupuncture) et des organes afin de rééquilibrer conjointement l’organisme et l’esprit.

C’est donc un art corporel et énergétique orienté vers le bien-être et la santé naturelle. Il permet de réparer, de restaurer, d’accroître, d’utiliser rationnellement cette énergie vitale qui est le fondement essentiel de la médecine chinoise et de ses applications (acupuncture, massages, diététique du Tao, automassages et mobilisations…).

C’est donc un outil très performant pour retrouver la vitalité, la souplesse, l’équilibre, le calme tout en conservant les capacités d’action. Un travail en profondeur sur les émotions, qui sont considérées comme une émanation de l’énergie (Qi) des Cinq Organes, permet de les régulariser et d’éviter qu’elles se transforment, comme c’est trop souvent le cas, comme le principal facteur de cause interne des maladies.

Ce travail s’effectue au travers de visualisations simples et de l’utilisation de sons et de vibrations qui motivent cette énergie vitale et ces énergies organiques profondes. Régularisation du stress, contrôle de l’agressivité, équilibre physique et émotionnel, gestion du potentiel d’action, régénération rapide par le travail du mouvement et du souffle, ralentissement du processus de vieillissement corporel et cérébral, réduction des dépendances, augmentation des capacités intellectuelles, développement des perceptions sensorielles et extra sensorielles sont autant de facteurs positifs liés à cette pratique. L’étude de mouvements simples et de séquences spécifiques permettent de reproduire chez soi ce qui a été étudié pendant les cours dirigés et les stages. Les Arts Internes : Taijiquan , San Yiquan.

Les principes sont les mêmes que pour le Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong) et les effets produits sont fort semblables puisque le travail énergétique est commun à ces diverses pratiques qui, jadis, représentaient un ensemble unique et global. Mais il s’agit de mettre ces principes en application au travers d’une pratique particulière qui est celle d’une confrontation avec autrui. En effet, il est fort à la mode d’être « en harmonie avec l’Univers mais fâché avec son voisin de palier ». Donc de se réaliser tout seul dans son coin en regardant son nombril.

La proposition est simple : accepter l’alter-égo, donc l’autre, donc les autres, donc ses semblables, donc leurs différences.

Et faire avec. Près de cinquante ans de pratique assidue nous ont incité à remplacer ce terme « martial » qui évoque la violence (Mars est la divinité de la guerre – un égorgeur psychopathe en jupette de cuir ! ) par le terme « chevaleresque ». Donc à éviter de reproduire la violence tout en prenant compte qu’elle existe réellement au sein de notre société.

Mais il ne s’agit pas uniquement de la violence physique exercée par un quelconque « loubard », fantasme récurent des cours de « self-défense » ou « d’arts martiaux » où on enseigne à des amateurs bienveillants et naïfs comment vaincre des professionnels de l’agression. Généralement dans une ambiance teintée d’un fort caporalisme presque germanique.

Nous ne proposons donc pas de recette infaillibles qui si elles fonctionnent vous amènent aux Assises ou si elles ne fonctionnent pas aux urgences hospitalières. Nous préférons axer notre travail sur l’équilibre physique, émotionnel, psychique et mieux faire comprendre les motifs et les moyens de l’agression. Afin de restreindre ses conséquences en protégeant son intégrité physique et morale. Ce qui n’exclut pas une certaine efficacité si le besoin s’en fait sentir.

Dans cette hypothèse le travail avec partenaire se révèle un outil essentiel car il permet de mieux comprendre les mécanismes physiques, émotionnels, intellectuels qui régissent les rapports humains dans une situation de conflit. Le travail profond des sensations et de l’approche d’un environnement immédiat et relatif permet d’éviter, dans bien des cas, la confrontation. Lorsque celle-ci a lieu, une attitude équilibrée et consciente permet, également dans bien des cas, d’en restreindre les conséquences.

Mais cette notion de la gestion du conflit s’étend bien au delà du « cassement de gueule » tel qu’il est généralement conçu dans ces fameux « arts martiaux » puisqu’il prend en compte d’autres conflits beaucoup plus permanents : rapports difficile avec autrui ; principes du blocage ou de l’esquive en cas de confrontation familiale ou professionnelle ; juste attitude vis à vis d’autorités agressives ; stratégies à court, moyen et long terme… Donc utilisation rationnelle du potentiel humain dans les rapports que l’on a avec la société et l’environnement.

Dans ce cas la « sagesse millénaire chinoise » n’est pas un vain mot, ni un endormissement de l’être et de la conscience, mais un outil performant et efficace à la portée de toutes et tous.

Et les principes essentiels que nous utilisons permettent, en outre, de comprendre les fondements de la pensée chinoise, et partant asiatique, donc des moyens et des stratégies utilisées tant dans la médecine chinoise que dans la politique ou dans les affaires. Ce qui actuellement est loin d’être négligeable.

Mais cela reste entre nous bien évidemment.

 

• LES ARTS EXTERNES


Il s’agit de ce que l’on nomme habituellement « Kung-Fu » et plus précisément « Kung-Fu Wushu » – littéralement « réalisation personnelle – donc compétence – dans l’art de la bravoure » – Cela nous le faisons depuis plus de trente ans aussi et nous n’avons pas attendu la venue des faux moines de Shaolin (vus à la télé au « plus grand cabaret du monde » ce qui indique qu’il doit s’agir plus de Music-hall que de représentants du Bouddha !) pour transmettre cet héritage historique et culturel authentique.

 

Inutile donc de casser des planches, de lécher des pelles rougies, de marcher sur des sabres d’opérette, ou de faire un grand écart latéral, ni même de se déguiser en Chinois pré-révolutionnaire, pour trouver du plaisir dans la pratique !

On peut même se passer parfaitement de se faire hurler dessus par un caporal de service, d’aller se faire briser le nez ou les orteils en compétition et même d’aller passer des grades bidons dans un gymnase de la périphérie où l’on doit nécessairement se justifier d’avoir eu le tort de pratiquer différemment que ceux qui sont justement assis de l’autre coté de la table et qui ne pratiquent plus depuis belle lurette puisqu’ils enseignent par le biais d’assistants dévoués.

On peut se dispenser de dépendre, par le biais d’une fédé bienveillante, d’une quelconque puissance étrangère et de ses honorables correspondants et simplement éviter le Kung-fu-marxiste-léniniste à la sauce chinepop ou le Kung-fu-nationalisto-capitaliste à la sauce taiwainaise. Sans pour autant tomber dans le Kung-fu franchouillard ou banlieusard. Et simplement pratiquer entre gens bien élevés, adultes et responsables qui recherchent, simplement, une voie permettant de bien s’accomplir physiquement, intellectuellement et moralement. Au sein d’Associations déclarées, donc de personnes morales respectueuses des lois en vigueur sur notre territoire. Et donc certaines possèdent également un agrément ministériel sans que pour autant elles prétendent un monopole ou une exclusivité de la pratique, de l’enseignement, de la formation !

Au sein de ces pratiques externes nous enseignons également les Armes Traditionnelles de la Chine Ancienne : bâton long, épée, sabre, lance, éventail. Et nous n’en faisons pas un plat puisque cela s’est toujours fait au sein des Ecoles représentant cette tradition authentique.

La pratique de l’Externe, comprenant les Armes, permet donc , au travers des diverses écoles représentées, de trouver celle qui correspond le lieux à ses aspirations mais elle n’en demeure pas moins inclue au sein des Arts Classiques du Tao. Elle constitue un complément à la pratique des Arts Internes et du Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong).


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Le Maître Liao Wu Chang
et son bâton long


• LA MEDITATION


Elle est parfaitement intégrée à notre pratique des Arts Classiques du Tao puisqu’on y retrouve les fondements de la
méditation Bouddhiste originelle dans la pratique du Zhan Chan ou Ritsu Zen qui est le pilier central articulant l’Interne et l’Externe.

C’est également l’aboutissement de la pratique du Qigong du Tao (Tao-Yin Qigong) au travers de la pratique de la
Méditation Taoïste (Méditation du Calendrier de Jade, Marche dans les Etoiles, Formation du Joyau Ecarlate).

Il s’agit tant de la méditation active ou debout (Zhan Chan ou Ritsu Zen) que de la méditation passive ou assise (Zhou Chan ou Za Zen), ces deux aspect ayant toujours été parfaitement complémentaires.

Cette méditation (etymologiquement Agir/Centré – Medius/Action) se base sur le contrôle total de la respiration et du mental (étymologiquement ce qui relie l’esprit à l’acte) au travers de pratiques millénaires et spécifiques aux Trois Doctrines Authentiques (San Jiao) : le Bouddhisme Chan (Zen) ; le Taoïsme du Ling Pao ; le Confucianisme de l »Ecole de la Pureté du Coeur (Xinxue).

La multitude des fédés et l’unité des Arts Classiques du Tao !

Chaque enseignant des Arts Classiques du Tao se devrait-il donc d’inscrire les pratiquants dans les multiples fédérations qui représentent ces diverses pratiques ? Chaque pratiquant disposerait alors d’une demi douzaine de cartes fédérales puisque ces diverses pratiques, désormais sportives, se sont éclatées :

  • – le Kung-fu Wushu est plus ou moins apparenté au Karaté sportif (FFKAMA);
  • – le Taijiquan est plus ou moins apparenté au Kung-fu Wushu (FFKAMA);
  • – le Qigong est plus ou moins apparenté au Taijiquan (FTCCG);
  • – le San Yiquan est plus ou moins apparenté au Qigong ( FTCCG);
  • – la méditation taoïste est plus ou moins apparentée au Yoga(FFY) ;
  • – la méditation bouddhiste est plus ou moins apparentée au Zen (FFRZ);
  • – la pratique des Armes est plus ou moins apparentée au Kendo donc au Judo (FFJDA);
  • – la pensée chinoise est plus ou moins apparentée à la Sorbonne ou aux Langues’O ;
  • – la diététique chinoise est plus ou moins apparentée à la macrobiotique ;
  • – la calligraphie chinoise plus ou moins apparentée à qui ?

– Et le Feng shui ?
De même le Qigong, fut-il thérapeutique ou médical, n’appartient pas à
l’acupuncture !

Cliquer ici : Acupuncture et Qigong

Pourquoi nécessairement appartenir à quelqu’un si l’on souhaite se rendre libre ?
Nous nous apparentons donc à nous-mêmes et aux Arts Classiques du Tao !

Et à la liberté d’agir.

Agir est facile !

(Wang Yang Ming)

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En Inde la « méditation » de dit « Dhyan »

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En Chine la « méditation » se dit « Chan »
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Au Japon la « méditation » se dit « Zen »
Et en Occident on dit « On est Zen » ou pire « On fait du Zen » !