Inauguration d’un monument mémorial du Xingyiquan à Shenzhou dans le Hebei

XINGYIQUAN ET SAN YIQUAN

monument de Li Luoneng à Shenzhou

La stèle monumentale de Shenzhou en la mémoire de Li Laoneng Les caractères Xing Yi Quan (Hsing I Chuan) : Poing de la Forme et de l’Intention.

 

 

 

 

 

 

 

 

La transmission de l’Art du Poing s’est toujours, traditionnellement, effectuée de Maître à Disciple et de génération en génération.

L’Ecole San Yiquan, du Poing des Trois Unités ou des Trois Harmonies, représente en ce qui concerne le Xingyiquan ou Hsing I Chuan, la cinquième génération de la branche du Hebei qui fut initiée par le Maître Li Laoneng.

La filiation est donc la suivante :
Li Laoneng (1807 1888) avec le Yiquan ; Guo Yunshen(1864 1935)  avec le Wuxingquan ; Wang Xiangzhai (1885 1963)avec le Dachengquan puis le Yiquan à partir de 1949 ; Wang Zemin (1909 2002) avec le Liananquan ; Georges Charles (1950 …) avec le San Yiquan.

Il s’agit donc d’une succession non pas seulement de transmission, comme on le fait au sein d’une école, mais de filiation puisque chacun de ces successeurs est considéré non pas seulement comme un disciple enseignant mais comme un nouveau chef de file.

Le Maître Li Laoneng avait souhaité donner le nom de Yiquan à son école en mémoire du nom de l’école fondée par le Général Yue Fei (1103 1142) qui fut l’initiateur du Xingyiquan et qui était le Liuheyiquan « Poing de l’Intention (Yiquan) et des Six Harmonies (Liuhe). Ce fait est relaté sur la pierre tombale de Guo Yunshen qui figurera prochainement au Mémorial à côté de la stèle de Li Laoneng et ceci grâce à notre souscription.

Ce terme de Yiquan fut, ensuite, repris après 1949 par le Maître Wang Xiangzhai, parallélement au nom initial de Dachengquan. Il figure également dans le nom de l’Ecole San Yiquan par respect à Wang Xiangzhai, à Li Laoneng et à Yue Fei dont nous transmettons la forme de lance à crochet (Yue Fei Giulianjiang).

 

Inauguration d’un mémorial du Xingyiquan à Shenzhou dans le Hebei

Le Mémorial stèle de Li Lao Neng par M. Shawei

Mémorial Li Luoneng de Shenzhou

La stèle dédiée à Li Laoneng telle qu’elle apparait de la route allant à Shenzhou. Elle se situe non loin de l’ancien emplacement de la ferme de Li Laoneng. Le lieu originel n’appartient plus aujourd’hui aux descendants du fondateur du Xingyiquan. Cette terre, pour le mémorial, a été acquise au prix de nombreuses difficultés d’ordre financier mais aussi d’ordre « politique ».

Stèle de Li Luoneng à Shenzhou

Le dos de la stèle et l’épitaphe dont la traduction suit !

Traduction de l’épitaphe de Li Laoneng : cliquer ici

Inauguration de la stèle de Li Luo Neng à Shenzhou

La stèle pendant la lecture de l’épitaphe.

Voici ce qui se trouve sur la face de la stèle : 形意拳租师李老能纪念碑 xing yi quan zu shi li lao neng ji nian bei « Stèle commémorative du fondateur de la boxe Xing Yi Li Lao Neng »

Shawei devant stèle de Li Luoneng

M. Shawei, représentant San Yiquan, entre les Shifu Song Run He et Zhang Yu Lin

Shawei et Zhang Yu Lin

M. Shawei et le Shifu Zhang Yu Lin, Maître Héritier du Xingyiquan de Li Laoneng à Shenzhou

La cérémonie inaugurant la stèle dédiée à Li Lao Neng tenue par une confrérie de maîtres et disciples de Xingyiquan (Hsing I Chuan) menée par le maître héritier et descendant de Li Lao Neng, Zhang Yu Lin, ainsi que le maître Song Run He et plusieurs enseignants et anciens, a eu lieu le 28 août dans la campagne très reculée de la ville de Shenzhou dans le Hebei. La stèle se trouve non loin du village natal de Li Lao Neng en plein milieu de champs de maïs. Elle est complètement introuvable pour qui ne connaît pas les lieux.

En tant que représentant de l’Ecole San Yiquan – du Poing des Trois Harmonies – issue de la tendance du Xingyiquan provenant également de l’enseignement initial de Li Laoneng (Li Lo Neng) de cette branche du Hebei, j’ai été convié à me rendre sur place et étais le seul étranger présent à la cérémonie.

Celle-ci a comporté la lecture de l’épitaphe située au dos de l’édifice, la présentation des Maîtres, Enseignants, Anciens et représentants présents, l’allumage d’un feu rituel, une prosternation rituelle (Ke Tou) en guise d’hommage et de respect à Li Laoneng et à ses successeurs, des discours des principaux représentants des Ecoles présentes et des démonstrations.

rituel du feu à Shenzhou pour Li Luoneng

Allumage du Feu Rituel avec les « Charmes » (Fu Lu) par le Maître Zhang Yu Lin

Le moment le plus représentatif du rituel a été l’allumage du feu à partir de charmes symboliques (Fu Lu) par le Shifu Zhang Yu Lin, Maître Héritier. Le Mémorial sur l’emplacement de la ferme de Li Lao Neng qui, depuis, a été détruite. Le Maître Zhang Yu Lin m’a personnellement convié à participer à ce rituel du Feu purificateur puis à la prosternation traditionnelle (Ke Tou) qui a suivi.

rituel du Feu à Shenzhou en l'honneur de Li Luoneng

M. Shawei, représentant de l’Ecole San Yiquan participe au Rituel du Feu devant le Mémorial

Prosternation rituelle devant le Mémorial de Li Luoneng

Prosternation rituelle à laquelle M. Shawei, représentant de San Yiquan a été convié.

prosternation devant Li Luoneng

La prosternation rituelle (Ke Tou ou Kotow) devant la stèle de Li Laoneng

En mandarin la prosternation se dit  » ke tou  » 磕头 Du fait de ma présence en tant que représentant de l’Ecole San Yiquan, le nom de Wang Zemin (Wong Tse Ming) a été prononcé pendant ce rituel . La stèle fait partie d’un site mémoriel qui comportera dans l’avenir un musée sur Li Lao Neng, des statues des 12 animaux et des 5 mouvements du Xing Yi ainsi que la pierre tombale de Guo Yun Shen actuellement déposée dans un entrepôt municipal de la ville de Shenzhou.

démonstration de Xingyiquan à Shenzhou

démonstration de Xingyiquan à Shenzhou

démonstration de Xingyiquan à Shenzhou

Puis nous nous sommes rendus dans le village natal de Li Laoneng (1807-1888)

Démonstration de Song Run He dans le village natal de li Luoneng

le Shifu Song Run He effectue une démonstration de Xingyiquan dans village natal de Li Lao Neng

Libations à Shenzhçou en l'honneur de Li Luoneng

Aucune cémémonie chinoise ne peut avoir lieu sans un banquet et des libations au son des « Ganbei » !
Ce qui signifie littéralement « cul-sec » !

Démonstration Sifu Zhang Yu Lin

Ni sans quelques démonstrations. Ici le Shifu Zhang Yu Lin démontre « Pao » la forme du Feu !

Zhang Yu Lin et le livre de Georges Charles

Le Shifu Zhang et le livre de Georges Charles « Hsing I Chuan » (Sedirep)

Hsing I Chuan par Georges Charles editions SEDIREP distribué par Chiron

L’ouvrage de Georges Charles paru dans les années 80.

maison du Sifu Zhang Yu Lin

Devant la maison du Shifu Zhang Yu Lin à Shenzhou

Caractère Wu et M. Shawei

Dans la maison du Shifu Zhang Yu Lin le caractère « Wu » : chevaleresque ou bravoure que l’on persiste, en Occident, à traduire par « martial »

calligraphie Xingyiquan kung-fu

Une calligraphie dans la maison du Shifu Zhang Yu Lin : Xingyi xue

Xingyiquan et Hebei

Une affiche à Shenzhou expliquant que le Hebei est la patrie du Xingyiquan

fresque du Xinguiquan à Shenzhou

Fresque murale représentant le Xingyiquan à Shenzhou

le Dragon de Shenzhou

Le « Dragon » de Shenzhou

environs de Shenzhou

Shenzhou est, par la route, à un bonne dizaines d’heures de Beijing ! Il faut donc avoir une bonne raison pour s’y rendre et M. Shawei en avait une. Représenter San Yiquan lors de cette cérémonie en l’honneur de Li Laoneng.

• Li Laoneng et Guo Yunshen

Li Lao Neng (1807 1888)*
* Une autre version d’un historien chinois donne les dates suivantes : 1783- 1867
Il est vrai que les dates de naissances et de décès concernant ces « anciens Maîtres » sont souvent variables. Il en est de même pour le Maître Guo Yunshen.
Les dates le concernant sont inscrites sur sa stèle en marbre noir : 1864 1935.
De même son portrait gravé sur sa pierre tombale représente un individu au cou de taureau et à l’oeil de tigre et non un avorton sournois.

Li Lao Neng (Li Laoneng ; Li Luoneng ; Li Nuolong ; Li Feyu ; Li Nengran ; Li Neng Jan ; Li Lam Jin ; Li Neng Jang etc…suivant les transcriptions diverses)(1807 1888 ou 1808 1890 ou 1783 1867) est considéré comme celui qui a permis le renouveau du Xingyiquan (Hsing I Chuan) – le poing de l’Unité du Corps (Xing) et de l’Intention (Yi), donc l’un des trois grands styles de l’Interne avec le Baguazhang – Paume des Huit Trigrammes – et le Taijiquan ou Tai Chi Chuan -Poing du Grand Faîte .

Il fut, entre-autres, l’élève des fameux frères Dai, Dai Longbang et Dai Lingbang (Tai Lung Pang et Tai Ling Pang) mais, en fonction des dates, il fut plus vraissemblablement, en fait, l’élève de Dai Wengxiong (Tai Weng Hsiang) le 2eme fils de Dai Longbang, surnommé Dai Erlu.

Il se rendit dans le Shanxi pour suivre leur entraînement et finit par se faire une exceptionnelle réputation à tel point qu’on le surnommait « Li la Paume Divine », (Li Fojun ou Li Fu Tchang) surnom qui sera, plus tard, repris par un de ses disciples, Guo Yun Shen, mais auquel sera ajouté le terme de « destructrice » (Sha) (Fo Jun Sha,  Fu Tchang Cha).

Cette réputation l’engagera à se mettre au service d’une société de convoyage de fonds puis de créer sa propre entreprise. Suite à un grave incident dans lequel plusieurs de ses disciples furent impliqués, dont Guo Yunshen, une expédition de représailles suite au vol d’un de ses convois qui finit par causer plusieurs morts, il décida de revenir, à 63 ans, à Shenzhou dans le Hebei, ville dont il était originaire, et d’y acheter une ferme.

Il devint donc, très paisiblement, « le vieux fermier Li » ce qui ne l’empèchait pas de recevoir des disciples de toute la Chine tant sa réputation était établie. Du Xingyiquan au Yiquan – de la « Forme » à l’ « Intention » C’est vers cette période qu’il décida de transformer radicalement la pratique et l’enseignement du Xingyiquan car il trouvait que la forme « Xing » prenait trop d’influence et que l’intention « Yi » était quelque peu négligée.

Il simplifia donc les « formes » pour apporter une plus grande « intention » et il nomma cette nouvelle pratique « Yiquan » – le poing de l’Intention – Il ne prit pas ce nom par hasard mais en se référant au « Liuheyiquan » (Poing de l’Intention et des Six Harmonies) de Yue Fei et en respectant la tradition confucianiste qui veut que l’on puisse conserver en partie le nom de l’école d’un prédécesseur afin de lui rendre hommage. Ce fait est attesté sur l’épitaphe située sur la tombe même de Guo Yunshen. Yue Fei (1103 1142) fut donc le premier à utiliser ce terme de Yiquan qui fut, par la suite, repris par Li Luoneng en 1867 puis par Wang Xiangzhai après 1949.  Il ne s’agit donc en aucun cas d’une quelconque « marque déposée » !

Il est évident que Li Luoneng eut plusieurs périodes représentatives de son enseignement et que celui-ci se transforma, ou évolua, au cours du temps, n’ayant plus grand chose à voir avec ce qui lui fut transmis au sein de la Famille, ou du Clan, Dai, ce qui alimente encore quelques polémiques. Le Yiquan est-il encore du Xingyiquan ? C’est un peu comme se demander si la branche ou le fruit qu’elle porte provient bien de l’arbre qui porte la branche et du sol qui nourrit l’arbre. On distingue donc actuellement diverses branches en fonction des régions ou cet art s’est transmis mais, au vu de l’uniformisation actuelle, cette querelle n’a plus trop lieu d’être si ce n’est pour nourrir des questions d’ego. Mais ce qui est certain est que la réputation de Li Laoneng fut telle que le Xingyiquan en profita largement pour mieux se faire connaître. Il semblait donc tout à fait normal qu’un mémorial soit élevé en sa mémoire et ceci sur les lieux où il vécu. Ses disciples les plus connus sont :

Guo Yunshen (Kuo Yun Shen ou Fo Jun Sha) 1864 1935

Guo Yunshen

Guo Yunshen tel qu’il apparaissait sur sa pierre tombale (estampage)
Le portrait a été réalisé, prétend-t-on, suivant son masque mortuaire

Guo Yunshen sur sa pierre tombale

L’estampage original de la tombe de Guo Yunshen à Shenzhou

pierre tombale de Guo Yunshen à Shenzhou

La pierre tombale telle qu’elle se présentait avant son transfert au Mémorial de Shenzhou.

Shawei sur piere tombale de Guo Yunshen

M. Shawei devant la pierre tombale de Guo Yunshen dans un entrepot municipal à Shenzhou

Li Qilan (1819 1889) Liu Xiaolan (1819 1909) He Yunheng Che Yizhai (Che I Chai) (1835 1915) Song Shirong (1845 1927) Song Shide (1857 1921) Li Guangsheng (1859 1934).
La filiation représentée par l’Ecole San Yiquan provient de Guo Yunshen et est donc celle du Wuxingquan – Poing des Cinq Eléments – puis du Dachengquan/Yiquan – Poing de l’Intention (Wang Xiangzhai) et du Liananquan – Poing des générations circulaires  (Wang Zemin).
Le Sifu Cheng Yan, qui a bien connu Wang Zemin, a expliqué à M. Shawei (Xavier Garnier) qu’il se rendait en compagnie de Wang Yufan, la fille de Wang Xiangzhai,  étudier le Wuxingquan chez Guo Yan, le fils de Guo Yunshen, à l’insu de Wang Xiangzhai qui était très exclusif. Une grande partie de San Yiquan provient donc de Wuxingquan, le Poing des Cinq Eléments. Il existe donc en San Yiquan, concernant le Xingyiquan, une filiation « directe » représentée par Wang Xiangzhai et une filiation « indirecte » représentée par le fils de Guo Yunshen. Il est quand même à noter qu’au Mémorial du Xingyiquan la stèle de Guo Yan est aussi imposante que celle de son père Guo Yunshen. Ce qui en Chine est tout à fait explicite quant à sa valeur reconnue.

• Visite à Wang Yufang la fille de Wang Xiangzhai

Visite à Wang Yufang la fille de Wang Xiangzhai maintenant disparue

Depuis, malheureusement, elle est décédée le 14 mars 2012 dans sa quatre vingt treizième année et Xavier Garnier, pratiquant et enseignant de San Yiquan et Membre enseignant de la Convention des Arts Classiques du Tao est le dernier Occidental à l’avoir rencontrée chez elle.

Suite à cette inauguration le Shifu Song Runhe a invité M. Shawei à rendre visite à Beijing à la fille de Wang Xiangzhai, Wang Yufang, qui en raison de son grand âge n’avait pas pu effectuer le déplacement à Shenzhou. A cette occasion M. Shawei a pu rencontrer le Shifu Cheng Yang qui a bien connu Wang Zemin à la fin des années trente et qui a évoqué son souvenir avec beaucoup d’émotion.

A son sujet il exprimé le fait que « L’art martial ne se pratique pas uniquement avec le poing mais surtout avec le coeur ».
Durant de longues années Wang Yufang a transmis la pratique du Yiquan-Dachengquan qu’elle tenait de son père Wang Xiangzhai.

Elle avait également étudié le Daoyin Qigong sous la forme du Zhan Zhuang Neidangong avec le fils de Guo Yunshen, Guo Yuan, et avait transmis cette pratique jusqu’à un âge avancé dans le cadre de plusieurs instituts de santé.

Elle était alors âgée de 92 ans et était unanimement respectée par tous des Maîtres qui viennent lui rendre visite chez elle à Pékin.

Wang Yufan fille de Wang Xiangzhai à 92 ans

Assise Wang Yufang la fille de Wang Xianzhai agée alors de 92 ans. Debout de gauche à droite le Shifu Cheng Yan, M. Shawei, le Shifu Song Runhe. Le Shifu Cheng Yan a bien connu Wang Zemin à la fin des années quarante.

Wang Yufang fille de Wang Xiangzhai

Wang Yufang la fille du Maître Wang Xiangzhai fondateur du Yiquan et du Dachengquan. Derrière sa petite fille et M. Shawei

Wang Yufang fille du Shifu Wang Xiangzhai et M. Shawei à Beijing septembre 2011

Wang Yufang la fille du Shifu Wang Xiangzhai (Wang Hsiang Chai ou Wang Yuseng) et M. Shawei à Pékin en septembre 2011
Wang Yufang était alors âgée de 92 ans et Xavier Garnier fut le dernier pratiquant et enseignant occidental à l’avoir rencontrée peu avant son décès qui a eu lieu le 14 mars 2012.

Wang Yufang fille de Wang Xiangzhai

Wang Yufang il y a une quinzaine d’années.

La préface de Shefu Wang Yufang pour le livre recueil de son père le Shefu Wang Xiangzhai en 2010. Cette préface permet de mieux approcher le contexte de la pratique et de l’enseignement du Xingyiquan au sein de l’Ecole du Yiquan-Dachengquan de Wang Xiangzhai et est donc un témoignage exceptionnel. cliquer ici • Souscription pour le Mémorial de Li Laoneng à Shenzhou La réunion du 21 juin 2011 pour la construction d’un mémorial du Xingyiquan à Shenzhou

Xingyiquan à Shenzhou

San Yiquan est bien présent pour soutenir ce mémorial à Shenzhou

San Yiquan et Xingyiquan

La version 1974 du Poing et paume dans le Salut de San I Chuan (San Yiquan)

Paume_poing Sanyi

La version 2011 du Poing Paume de San Yiquan

C’est le changement dans la continuité mais notre logo, créé en 1972, a été bien souvent été copié ! cliquer ici

Sanyiquan et Xingyiquan

Xingyiquan (Hsing I Chuan) et San Yiquan (San I Chuan) sont comme l’arbre et la branche. La pratique en est le fruit ! Mais le noyau demeure la fraternité entre pratiquants (Yi shi) San Yiquan et les Arts Classiques du Tao ont donc participé à cette souscription !

La souscription initiée par Georges Charles et Shawei, alias Xavier Garnier, a rapporté à ce jour, le 3 avril 2012 la somme de 6000 euros soit 50 000 Yuans qui ont été remis au Shifu Zhang Yu Lin à l’occasion de la Fête Qing Ming « Limpidité Clarté » où on honore particulièrement les ancêtres et qui a eu lieu le 4 avril 2012. Nous remercions tous les souscripteurs ! G.C.

La remise de la Souscription au Shifu Zhang Yu Lin à Shenzhou le 4 avril 2012

La souscription de 50 000 yuan pour notre contribution au Mémorial du Xingyiquan a été remise au Shifu Zhang Yulin le 4 avril 2012 par Xavier Garnier, représentant officiellement Georges Charles, et par Jean Yves Bardin tous deux Membres Enseignants de la Convention des Arts Classiques du Tao et enseignants certifiés de San Yiquan de 7eme génération.

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