Les (nouveaux) perturbateurs endocriniens qui nous pourrissent la vie. Le masque et la plume. Ici il a la plume dans l’oeil mais elle est destinée à une autre fonction !
Par Georges Charles.
Fondateur des Arts Classiques du Tao.
Les pires perturbateurs endocriniens ne sont pas nécessairement ceux à qui l’on pense.
Ce sont, habituellement, dcs substances chimiques ou des microparticules qui modifient le fonctionnement du système endocrinien à savoir la thyroïde, le thymus, les glandes surrénales, l’hypophyse ou pituitaire, l’épiphyse ou glande pinéale, les ovaires, la pancréas et les baloches, pardon les testicules. Ceci pour les casse-burnes. Et probablement d’autres organes que l’on trouvait jadis en triperie et dont on a oublié le nom et aussi la fonction et que les Romains de l’antiquité dégustaient fourrés lors de banquets. Pour les anciens Chinois c’est ce qu’on a traduit, au moins pire, par quintessence et que l’on retrouve dans la pratique transmise au Ve siècle par Bodhidharma (alias Daruma, Putitamo, Damo…et on en passe 108) à savoir le Yijinjing Xisuijing (Nettoyage muscles/tendons Purification moelle(s)/quintessence). Le dernier terme ayant souvent été traduit par « sinus ». Or, « sinews » en anglais représente la « force vitale » , la « vitalité essentielle » Izaac Walton a pu en dire « Good company and good discourse are the very sinew of virtue » « De bonne(s) compagnie(s) et une bonne conversation sont le véritable fondement de la vertu ». Les sinus n’ont rien à voir là dedans. Sauf en cas d’affection par la covid. La perte de l’odorat finissant par modifier le comportement humain. Mais on retrouve ce type de traduction approximative dans la série Kung-Fu où, en français Kwai Chang Caine, le héro, se retrouve affublé du surnom de « Petit scarabée » alors qu’il devrait s’agir de « petite sauterelle ». De même dans la plupart des feuilletons ami-requins on retrouve de très nombreux physiciens alors que « physician » désigne outre atlantique et même outre manche un simple médecin de quartier. Ce qui est moins valorisant que de bosser à Saclay. Finalement c’est simplement ce qui est mis en rapport avec le comportement humain et ce qui est capable de (profondément) le modifier. Un auteur chinois a admis qu’ « un sage avec une rage de dents est aussi spirituel qu’une jeune fille devant un plat de nouilles froides ». Et que, finalement, il suffit de pas grand chose pour transformer un être évolué en crétin abouti. Ces fameux « perturbateurs endocriniens » ont envahi notre alimentation, donc ce que nous ingérons pour tenter de survivre, mais aussi notre boisson, par extension nos boissons à commencer par l’eau, l’air que nous respirons (peut-on encore parler d’air ?), les pièces et les meubles dans lesquels nous vivons, les vêtements que nous portons et enfin toute notre vie jusqu’à notre sommeil. Et même notre mort puisque nos cadavres sont tellement envahis de substances chimiques de tous poils et diversement irradiés qu’ils deviennent imputrescibles. Le retour aux cendres puis à la terre va désormais prendre quelques millénaires. Mais malheureusement il n’y a pas que les morts à être touchés, d’où cette mode des zombies, puisque pas mal de vivants sont désormais lourdement contaminés et se comportent à leur tour comme de sérieux perturbateurs endocriniens vis à vis de leur entourage direct ou indirect. Et ils passent donc désormais le plus clair de leur temps à tenter de modifier notre comportement. Ils sont, de ce fait, tout à fait aussi polluants que les microparticules de plastique ou le trichlorure de benzène. Il convient donc de les éviter. Soigneusement. Ou du moins de prendre conscience de leur rôle malfaisant et de savoir les combattre ou au moins de leur résister.
Pendant des années, sinon des siècles et même des millénaires on nous a doctement expliqué de la respiration c’était la vie, que bien respirer c’était bien vivre et que respirer petitement c’était vivre petitement. On nous a scientifiquement expliqué le rôle purificateur de l’oxygène et on utilise toujours l’eau oxygénée pour combattre les miasmes qui se développent dans certaines plaies infectées. On nous a dit que le sport était non seulement utile mais nécessaire à la santé. On nous a expliqué qu’il n’y avait rien de pire que de vivre dans de l’air confiné, dans un milieu pathogène propice à diverses affections notamment des voies respiratoires supérieures et de la zone broncho-pulmonaire. On a fait prendre l’air et le soleil de la montagne aux tuberculeux dans des sanatoriums ou à ceux qui avaient été gazés dans les tranchées grâce aux scientifiques qui on mis au point des gaz de plus en plus redoutables. Merci la science. On a utilisé la gymnastique pour traiter diverses affections dont le rachitisme. Et en quelques mois quelques zozos patentés ont décidé, brutalement, de nous confiner, donc de nous « conlourder », de nous empêcher de respirer correctement et de nous empêcher de pratiquer une activité sportive ou corporelle sinon énergétique en fermant les lieux de pratique. Donc en interdisant la pratique. On sait que le moral joue un rôle important dans le processus de protection et de guérison. Et on ferme tous les lieux culturels, les espaces de rencontre, les endroits de convivialité. Pire on nous empêche de se retrouver en famille ou d’aller soutenir nos anciens et même d’honorer nos défunts. On a eu jusqu’à la folie de faire fermer les cimetières et d’interdire les commémorations citoyennes. Seuls les nazis avaient osé le faire, et encore. Donc d’atteindre non seulement à la liberté de vie mais aux libertés citoyennes les plus élémentaires. Pas même de respect pour les défunts. Pour notre bien. Evidemment. Les véritables perturbateurs endocriniens ils sont là. Et ils ne s’en cachent même pas. Ils paradent et s’étalent à la télé et dans les radios d’état. Ils ont décidé de modifier profondément et pour longtemps notre comportement physique, émotionnel, mental, social et même spirituel. Afin simplement de protéger leur pouvoir, ce pouvoir qui sans ces mesures, leur échappe jour après jour. Comme des chiens qui ont la trouille ils sont capable de mordre la main qui les nourrit. Ce sont eux qui, en permanence, ont engendré la trouille grâce aux médias qui sont aux bottes. Comme toujours. Cette fameuse radio (et télé !) de service public qui a été en grève pendant de longs mois, plus longtemps qu’en 68, et qui du jour au lendemain redevient le porte parole efficace et dévoué du même pouvoir qu’elles critiquaient jadis. La voix de son Maître. Qu’ont elles obtenues pour ce faire ? La carte tricolore, instaurée sous Pétain, ne leur suffit plus ? Il est de fait qu’il y a instrumentalisation des chiffres et des faits afin d’entretenir volontairement cette trouille pour ne pas dire cette collaboration. Qui tire les ficelles ? La peur n’évite pas le danger et ce n’est pas en demeurant cloitrés et affaiblis qu’on combat le virus. Il y a danger, c’est vrai, mais un danger se combat avec des armes et des décisions efficaces. Pas en restant assis et en attendant la énième intervention d’un politicien qui hier n’était rien et qui demain retournera au néant dans lequel il se confondra. Qu’ils profitent bien de ce peu de pouvoir tombé du ciel et dont ils usent et abusent avec complaisance et délectation. La Nation ne restera pas toujours à genoux. Historiquement on sait déjà que cela ne dure pas longtemps. Et que la Libération interviendra « on a sunny day » comme le disait la Reine d’Angleterre dans son dernier discours. Et elle sait de quoi elle parle. Ce n’est qu’une question de temps. Ne nous laissons pas perturber. Résistons.
Une culture hors sol
Ce matin, cinq novembre, dans ma boite aux lettres je découvre le N°31 de Seine Maritime Magazine (novembre décembre 2020) et avec stupéfaction je lis ce titre en première de couverture « Sport l’assurance santé » avec un graphisme très années 30-40 avec un sportif qui jaillit, tel un diable, hors d’une boite.
Avec, à l’intérieur un article qui annonce, sans rire :
« Dossier : Le sport c’est la santé. – La pratique d’une activité physique est un atout pour la santé. Afin de l’encourager le Département de Seine Maritime invite le sport dans le quotidien de ses habitants. Le sport est un médicament qui existe depuis toujours …La pratique régulière d’une activité physique réduit les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, d’hypertension et l’on peut même aujourd’hui affirmer que ceux qui se dépensent régulièrement ont moins de possibilités de développer un cancer ».
Enfin !
Il est simplement dommage que les « autorités compétentes » aient, pour des raisons de santé, fait fermer la totalité des salles où s’exercent, justement, ces fameuses activités physiques si utiles à la santé et interdisent, également, la pratique de ces activités en extérieur. Sauf une petite concession pour une heure de marche ou de jogging. Autant parler d’un cautère sur une jambe de bois.
Pour ma part je pratique depuis 1958 soit depuis 62 ans et je n’ai jamais connu pareille situation ou des dizaines de milliers de personnes sont justement, ou plutôt injustement, privées de leurs activités physiques et énergétiques.
Plus de 90 Fédérations sportives se sont étonnées de cet état de fait et lancé, sans le moindre effet, un SOS aux autorités (voir cet appel dans ce même site).
Les cours hebdomadaires, les stages mensuels ont été purement et simplement supprimés d’un trait de plume. La fameuse plume qu’on va bientôt être obligés de se mettre…où je pense.
Mais nous nous en souviendrons.
Essentiel et non essentiel.
Hier, munis de nos ausweis, nous sommes allés effectuer quelques achats dans une grande surface. La moitié de magasin était plongé dans une semi-pénombre. Et bon nombre de rayons « non-essentiels » étaient fermés type « scène du crime » dans les séries télévisées. Au rayon des rayons fermés celui sur les fringues « tchip » , celui sur les chaussettes et sous vêtements et celui sur les chaussures.
Ce sont évidemment des choses bien inutiles dans l’esprit de certains technocrates qui, évidemment, n’achètent pas ce genre de « choses » en grande surface mais se les font livrer à partir de la Place de la Madeleine.
les fringues, totalement inutiles quand on est conlourdés à la maison. Confiné c’est trop fin. Confinement aussi. Je propose donc conlourdement. C’est con, très lourd, on nous ment et surtout c’est inutile et ridicule. Mais le ridicule ne tue plus. La preuve. Le déconfinement comme son nom l’indique c’est bien la fin du déconnement (déco(fin)nement) : (fin) déconnement. On est comme des cons devant la lourde. Il faut lourder ces cons.
Mais, évidemment, le rayon « insecticides » demeure ouvert. On extermine qui on peut. Probablement avec des bombes Kapo contenant un dérivé du Zyclon B. C’est, en effet, un achat essentiel l’insecticide et il justifie pleinement l’ausweis.
Pour moi cela a un nom : une pétaudière.
Sans transition
Je viens d’apprendre, ce soir, 6 novembre 2020, par la voix de sa compagne le décès de mon Ami Gabriel Faubert, alias « Gaby », acupuncteur, auteur de plusieurs ouvrages et pratiquant des Arts Chevaleresques. Comme Georges Marie Mélin, un autre Ami acupuncteur décédé depuis un moment déjà, il avait pratiqué le Karatedo sous la direction du Sensei Harada Mitsusuké, né en 1928 en Mandchourie et élève direct de Funakoshi Gichin. Puis il s’était quelque peu assagi et, passé la cinquantaine, il s’était tourné vers les arts du poing chinois. Pendant un moment il m’avait transmis sa connaissance de l’acupuncture et m’avait fait l’honneur de devenir mon élève au sein de l’Ecole San Yiquan. J’avais déjà eu le privilège d’avoir eu son frère André comme élève. Malheureusement ils ne s’entendaient plus depuis un certain temps. Gaby était quelqu’un de passionné, probablement excessif d’ailleurs, mais d’une droiture exemplaire et fidèle en amitiés. Le connaissant, la première pensée que j’ai eu ce soir est, qu’à son âge, il devait atteindre 93 ans et avec son caractère « Il devait être bien mieux où il était que désormais ici-bas ».
C’est une oraison funèbre simple mais qui lui correspond bien. Il aurait pu être Templier. Ou l’un des Chevaliers de « Au bord de l’eau ». Et il n’a pas du supporter ce foutoir. Condoléances à sa Famille et à ses Amis.
G.C.