Une redécouverte qui dérange.
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Nous venons de redécouvrir avec étonnement que notre environnement immédiat influe directement sur notre comportement, sur notre organisme, sur notre mode de vie, donc sur notre santé. Ce qui semble, du moins pour certains, désormais une évidence fut, en Occident, pendant des siècles sinon des millénaires une réalité qui ne fut mise en cause très récemment que par le rationalisme triomphant qui affirmait que l’homme moderne prétendait pouvoir échapper à toute autre influence que celle de la civilisation industrielle.
Que la croissance des plantes puisse être influencé par les cycles lunaires est constaté par n’importe quel jardinier. Que cette même lune ait une influence sur les marées, donc l’océan, est constaté par n’importe quel marin. Qu’elle ait encore une influence sur la croissance des cheveux est constaté par n’importe quel coiffeur. Que les nuits de pleine lune causent une certaine agitation chez certains malades est constaté par n’importe quel infirmier en hôpital psychiatrique. Que l’apparition des taches solaires perturbent les ondes est constaté par n’importe quel opérateur radio. Que la présence de magnétite terrestre modifie les appareils de mesure est constaté par n’importe quel pilote. Ce qu’un jardinier sait, ce qu’un marin sait, ce qu’un coiffeur sait, ce qu’un infirmier sait, ce qu’un opérateur radio sait, ce qu’un pilote sait, les scientifiques ne le savent pas. C’est étrange.
Il est vrai que cette même science refusait parallèlement d’admettre qu’il puisse exister des maladies professionnelles liées à un environnement défavorable : le cancer de l’amiante, la silicose du charbon, les dégénérescences cellulaires dues à l’exposition permanentes émises par les stations radar mirent des années et des années avant d’être reconnues. Et encore. EDF admet timidement, depuis peu, que les perturbations électromagnétiques induites par les lignes à haute tension perturbent éventuellement l’environnement et peuvent avoir, dans certaines conditions, une possible répercussion sur la santé. Cela fait quelque peu penser à une publicité télévisuelle vantant un produit de beauté qui “peut vous aider, vous aussi, à paraître plus jeune”. Au moins ce produit remarquable, s’il ne vous rajeunit pas, ne risque pas pour autant un procès pour publicité mensongère ! C’est ce qui s’appelle “sortir couvert”.
Pour ces scientifiques du refus systématique de la constatation d’un fait avéré, mais qui dérange leurs théories et surtout leurs recherches, donc leurs intérêts, il semble que la terre ne soit qu’un support vaguement inerte propice aux seules constatations et découvertes des géologues patentés et rémunérés par l’état. Ils accusent donc d’obscurantisme tous ceux qui ont le tort de ne pas partager leur point de vue et nous mettent en garde contre les dangers des patamédecines ou des redoutables dérives sectaires qu’engendrent toute recherche non issue du sérail officiel. Entre deux émissions de vulgarisation scientifique à la télévision, un prix Nobel et une Légion d’Honneur tout à fait méritée, ils retournent dans leurs laboratoires mettre au point un plastic indétectable bien utile pour réaliser une mine bondissante, petite merveille de la technologie scientifique, un autre gaz de combat particulièrement efficace ou un nouveau virus. Où irait-on si des zozos arrivaient à convaincre l’opinion publique qu’un pylône, une cheminée d’usine, une nouvelle autoroute perturbent l’environnement et que celui-ci ait une incidence sur la santé ? Si l’homéopathie se mettait à exister officiellement, en dehors des interdits qu’elle suscite depuis peu, on imagine quelle pourrait être l’influence de la pollution des nappes phréatiques par le lisier de cochon sur la santé humaine… Sans parler du rejet natureldans ces mêmes nappes phréatique des centaines de tonnes de médicaments et d’antibiotiques utilisés pour l’élevage dudit cochon.
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Un célèbre précurseur : Hippocrate (IVeme siècle avant JC)
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Hippocrate lui même en eut frémit lorsque dans son “Traité des airs, des eaux et des lieux” il écrivait, au quatrième siècle avant notre ère “Lorsqu’un médecin arrive dans une ville inconnue, il en observe la situation et les rapports avec le vent et avec le lever du soleil. Il acquerra des notions très précises sur la nature des eaux dont les habitants font usage, si elles sont lacustres ou molles ou dures et sortant de lieux rocailleux. Il étudiera les divers états du sol qui est tantôt nu et ses, tantôt boisé et arrosé, tantôt bas et brûlé de chaleurs étouffantes, tantôt haut et froid. C’est à partir de là qu’il faut commencer pour juger chaque chose. Le médecin instruit sur ces points n’ignorera de la sorte ni les maladies locales, ni la nature des maladies générales de sorte qu’il ne commettra pas les erreurs dans lesquelles tomberaient ceux qui n’auraient pas approfondi ces données essentielles. En général tout ce que produit la terre est conforme à la terre elle-même. En partant ce des observations, on pourra donc juger du reste sans crainte de se tromper… ”.
Que ceux qui prétendent prêter serment sur son nom ne l’oublient pas.
Notons que le “Vent” et l’”Eau”. Donc étymologiquement le Feng Shui, demeurent pour Hippocrate des préoccupations essentielles à tout bon médecin. Sun Si Miao (581 682), l’équivalent chinois d’Hippocrate, écrivait dans ses “Notes complémentaire aux recettes de dix mille pièces d’or” (Qian Jin Jian Yi Fa) : “Un bon médecin se doit non seulement d’examiner le patient mais également son environnement direct et indirect. Bon nombre de maladies, dont les plus difficiles à soigner, sont liées aux perturbations du terrain et de l’habitat. Oublier de considérer ces perturbations est une faute professionnelle”. Voilà qui est dit. I
l n’en était pas autrement à Rome puisqu’un texte concernant la fondation de cette ville précise : “Le 21 avril 754, les Dieux, par l’intermédiaire de Romulus ayant désigné comme emplacement le Mont Palatin, la plus haute des collines s’élevant dans une plaine marécageuse et malsaine inondée chaque année par le Tibre, qui de sa position favorisée échappait à la pestilence, Romulus, le Fondateur de cette antique cité, après s’être purifié et après avoir offert un sacrifice, posa un autel sur une motte de terre et y alluma un foyer. C’était autour de ce foyer que devait s’élever la ville. Le fondateur attela sa charrue dont le soc était en cuivre à un taureau et à une vache. L’enceinte ainsi tracée autour du foyer et de l’autel était inviolable”. Ces “archives du Forum” n’expliquent malheureusement pas par quel moyen Romulus se fait l’intermédiaire des Dieux. Mais on constate simplement qu’entre la Grèce, la Rome et la Chine antiques existe une similitude troublante.
Par la suite on fit confiance aux “anciens” et aux “sages”, sinon aux “savants” dans le choix particulier des lieux qu’ils avaient définis. On se borna souvent à modifier les constructions suivant les critères et les modes de l’époque tout en conservant, si possible, les parties les plus anciennes. Cela explique que l’immense majorité des édifices religieux actuels, particulièrement les cathédrales, se trouvent situés sur l’emplacement exact d’anciens cultes dont on a parfois conservé les vestiges.
Notre Dame de Paris s’élève au dessus d’une crypte comportant le tombeau d’Isis, divinité “païenne” et antique qui, plusieurs siècles avant la conquête des Gaules par César, donna son nom à la tribu des Parisis.
La “Cité”, située au milieu du fleuve, représente donc toujours le point initial autour duquel s’est élevée peu à peu la capitale. Les armes de la ville représentent toujours le moyen de transport utilisé par les nautoniers pour amener les pèlerin à la Cité : une barge. La fameuse devise de Paris “Flucuat Nec Mergitur”, souvent mise à mal, signifie “Bien que secoué il ne sombre pas”. Fluctuat est évidemment à prendre dans le sens de fluctuation, remué, secoué dans tous les sens… et non de flotter !
Tous les “Hauts Lieux” n’ont pas été utilisés ou récupérés, certains ont été oubliés depuis des siècles. La sagesse populaire conserve malgré tout le souvenir de ces lieux dans des indications toponymiques intéressantes. Les cartes d’état major fourmillent de ces lieux dits qui incitent à penser que ces influences particulières y avaient été détectées. Si le lieu est anciennement construit il s’agissait le plus souvent d’influences favorables puisqu’on évitait de construire en des lieux peu propices. Si le lieu est nouvellement construit cela mérite réflexion. Des toponymes comme Malemort, Longuemort, Malbué ou Maubué (mauvais souffle), Maubuisson, Mauval, Malpierre, Mauvesin, Malmaison, Lafosse, Tournemal, Tournecourt, Mauvent et autres Oust, Vatan, Saltrou, Gravelle, Torte, Lafaille, Lacave… sans oublier les Maladreries et autres Mort Homme devraient inciter à quelque prudence.
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Réseau Hartmann et veines du Dragon…
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Bien que les divers travaux et recherches des anciens aient été quelque peu oubliés, du moins en Occident, c’est à l’Université d’Heidelberg, en 1935, que le Docteur Hartmann émit l’hypothèse qu’un réseau électromagnétique couvre l’ensemble de la surface terrestre. Il n’était pas le premier, loin s’en faut, à effectuer des recherches dans ce domaine puisque autant en Grande Bretagne avec Haviland, en France avec Peyré et Chrétien, des constatations analogues avaient déjà été effectuées.
Le mérite de Hartmann est d’avoir pu réaliser des mesures précises concernant ce réseau qui se présente, lorsque le sous sol ne présente aucune anomalie, sous la forme d’un quadrillage régulier orienté est-ouest et nord-sud. Chaque maille mesure 2,30 m à 2,50 m dans le premier sens et 2m00 à 2m10 dans l’autre. Les lignes de force matérialisant ce réseau ont une épaisseur moyenne de 21cm mais qui peut varier en fonction de la nature du sol et du sous sol.
Elles ont la particularité de se manifester en hauteur et sont donc considérées comme des “murs”. Ces “murs” déterminent trois types de zones : des zones neutres comprises dans chacune des mailles, entre les limites internes du quadrillage, et qui sont considérées comme des lieux de repos ; des zones de première intensité à l’emplacement des mur, dont la faible activité ne semble pas provoquer de problème ; enfin des zones de forte intensité tellurique se trouvant à l’intersection des murs, ou lignes de force, formant des carrés de 21 cm de coté. A cause de cette forte activité tellurique parfois fortement perturbatrice, ces zones ont été nommées “noeuds radiants”.
La présence de ces noeuds radiants est déjà de nature à apporter des modifications de nature électromagnétiques sur leur emplacement ou à leur directe proximité. Mais, si le réseau est perturbé soit par la présence d’une faille, d’une cavité souterraine, d’un cours d’eau, d’une différence entre des couches géologiques, de la présence de minerais ou de dépôts ferreux… la déformation des mailles implique que ces “noeuds radiants” renforcent d’autant leur intensité et, par là, deviennent réellement actifs sinon pathogènes.
Les variations du réseau Hartmann permettent donc d’une part de détecter de telles anomalies de terrain et d’autre part de mettre en évidence des points précis à éviter lors de la construction ou de l’aménagement d’un habitat. Si le lit se trouve à l’aplomb d’un tel “noeud” non seulement le sommeil risque d’en être perturbé mais à la longue des troubles psychiques et physiques peuvent se déclarer. Une simple faille ou un cours d’eau souterrain peut, à la suite de la déformation du réseau, provoquer une concentration de ces “noeuds radiants” sur un espace limité. Dans ce cas il peut s’agir de ce que l’on nomme communément une “maison à problème”, une “maison à suicides”, une “maison à cancer”.
Ce principe d’un réseau avait déjà été émis par Henri Mager et Lavaron puis par Peyre qui reconnaissaient également la présence d’une énergie électromagnétique aux points d’intersection des lignes de force le constituant.
Le Docteur Curry, quant à lui, détermina un autre réseau tellurique dit “diagonal” puisque son orientation nord-ouest/sud-est et nord-est/sud-ouest. Dans ce réseau l’écartement des lignes de force varie de quatre mètre à seize mètres, les délimitations ainsi formées pouvant prendre la forme d’un carré ou d’un rectangle considérablement allongé. Il semble, en fait, que ces deux réseaux soient plus complémentaires que contradictoires. Le réseau Hartmann semble néanmoins posséder une intensité vibratoire plus intense que le réseau Curry. De leur coté les Chinois signalent depuis toujours la présence de « Veines du Dragon”, donc d’un réseau tellurique fortement influencé par la présence de failles, de rivières souterraines, de cavités mais également par les anciens cimetières, les anciens remblais, les filons miniers, les marécages asséchés, l’emplacement d’anciens temples ou pagodes, lieux dont ils se méfient particulièrement et qui causent toujours bon nombre de problèmes à leurs promoteur et à leurs architectes.
Certains lieux géographiquement bien situés sont, ainsi, considérés comme inconstructibles à cause de la présence et surtout du croisement de deux ou de plusieurs “Veines du Dragon”. Le nouvel aéroport de Hong Kong du ainsi être modifié car il contrariait l’un des “Neuf Dragons” constituant Kowloon. Ce qui avait provoqué plusieurs accidents et incidents inexplicables. Depuis sa modification en fonction des règles millénaires du Feng Shui rien ne s’est plus produit.
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Les principales causes de perturbations et leurs manifestations :
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Elles résultent le plus souvent d’une différence de potentiel entre deux ou plusieurs matériaux en présence, donc de la rupture entre deux ou plusieurs plans induisant une ligne de force énergétique de plus ou moins grande intensité. Elles sont donc souvent le simple fait d’une faille, d’une cavité, d’un gisement, d’un courant d’eau souterrain, d’une ancienne excavation, de remblais artificiels, de forages profonds.
En fait de ce qui est capable de provoquer une disparité, une dissymétrie, et, par conséquent, d’empêcher, de réduire ou, au contraire, d’amplifier des mouvements de l’énergie. Ces différences de potentiel peuvent résulter d’un fait naturel ou d’activités humaines présentes ou passées. La présence d’anciennes galeries de mine, d’anciens cimetières ou nécropoles provoquent donc des perturbations en sous sol. Il va sans dire que la présence d’un château d’eau, d’une ligne à moyenne ou haute tension, de lignes téléphoniques aériennes ou enterrées, de cheminées industrielles ou d’aération, de transformateurs, de lignes de chemin de fer, de routes à forte circulation, de canaux artificiels, de retenues d’eau, de décharges ménagères ou industrielles, de carrières, de gravière perturbent également ces réseaux électromagnétiques.
Dans tous ces derniers cas il s’agit de perturbations phénoménale, donc physiques, liées à une activité humaine visible et actuelle. Elles sont facilement décelables par une simple observation visuelle ou, éventuellement grâce à un pendule lorsqu’elles sont dissimulées au regard.
Certaines autres perturbations sont plus subtiles et donc moins facile à mettre en évidence. Il s’agit, par exemple, des lieux historiquement chargés… anciens champs de bataille, prisons désaffectées, lieux d’équarrissage, fosses communes qui pour certains, et pendant des siècles, peuvent émettre des énergies fortement perturbatrices. Il peut alors s’agir d’une mémoire du sol, des pierres, de l’habitat en cause.
Si les premières perturbations agissent plus directement sur le physique, ces dernières semblent d’ordre beaucoup plus psychique allant jusqu’à provoquer des fatigues permanentes, des insomnies, des cauchemars, des pertes d’appétit… sinon des manifestations inexpliquées comme la sensation de présence. Il a été remarqué que bien souvent ces deux types de perturbation se cumulaient comme si le lieu avait favorisé les événements qui s’y sont déroulés et que ces événements aient encore amplifié le caractère malsain du lieu.
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Tout n’est pas nécessairement irrationnel…
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D’après certaines constatations il existe une explication beaucoup plus rationnelle encore à ces phénomènes soit disant inexpliqués. Il s’agit simplement de l’émission d’un gaz inerte et rare ainsi que radioactif : le radon. Celui-ci en se décomposant provoque une radioactivité dite alpha vingt fois plus dangereuse que les rayons gamma. Ce gaz est particulièrement présent dans les roches anciennes de type granite, gneiss, schiste, basalte, porphyre et empreinte diverses failles, fissures, canalisations pour remonter à la surface. Il possède la capacité de se dissoudre dans les roches sédimentaires telles que le calcaire, la craie, le grès ou les marnes ainsi que dans l’eau… de se concentrer puis de provoquer une nouvelle émission à l’occasion d’un bouleversement du terrain en question lors de travaux les plus divers.
Plusieurs chercheurs lui attribuent une propriété cancérogène importante provoquant tant des cancers du poumon, des leucémies, que des cancers de la thyroïde ou lymphosarcomes. Dans ce cas il s’agit plus d’un agent chimique que d’une perturbation tellurique à proprement parler. Mais, d’autre part, ce radon profite amplement des perturbations telluriques pour remonter à la surface… ce qui revient donc au même puisque les conséquences seront, dans une hypothèse comme dans l’autre, susceptibles de restreindre le potentiel de santé.
Sans nécessairement avoir affaire à un spécialiste, ces causes directes et indirectes de perturbation génèrent souvent des manifestations particulières qu’il est possible d’observer. Certains végétaux et certains animaux y sont particulièrement sensibles. On note tout d’abord qu’il s’agit de “lieux à foudre” car il semble que la présence de deux courants hydrotelluriques augmentent sensiblement le rayonnement électromagnétique en le distordant. Cette distorsion est de nature à attirer la foudre. La présence d’un ou de plusieurs arbres foudroyés implique généralement une perturbation importante du réseau Hartmann.
Sur ces lieux les anciens romains creusaient des puits dédiés à Jupiter et consacrés à Fulgur Conditum (foudre enfouie). Les arbres, particulièrement les pommiers et les tilleuls, présentent des anomalies, torsions importantes, protubérances et excroissances. Les branches peuvent également présenter des bifurcations ou des renflements caractéristiques quand il ne s’agit pas d’une nécrose du bois. Anciennement les “arbres à loupe”, utilisés en ébénisterie, étaient volontairement plantés en des endroits perturbés, à proximité d’anciens étangs ou de carrières souterraines. Bon nombre d’arbres d’ornement supportent mal ces perturbations telluriques comme les thuyas et fusains qui jaunissent.
Depuis des siècles certains lieux fortement chargés sur un plan tellurique et historique produisent des arbres présentant de fortes déformations… c’est le cas, par exemple, des “faux de Verzy” de la Montage de Reims qui sont des arbres présentant naturellement de nombreuses torsions caractéristiques. Il s se situent à proximité immédiate de sites druidiques et de sources sacrées.
Par contre certaines espèces de plantes les recherchent… c’est particulièrement le cas de la misère, de l’ortie, du sureau, de la grande cigüe, de la bryonne, de la belladone, de la datura. La plupart de ces plantes étant elle-mêmes dangereuses et n’incitent pas à rendre le lieu sympathique même si elles contribuent à l’assainir en favorisant les échanges avec l’extérieur.
Concernant les animaux, ces lieux semblent fortement attirer les fourmis, les termites, les guêpes, les cloportes, les scolopendre alors que les abeilles les évitent. Pour ce qui est des animaux domestiques il semble que le chat présente une prédilection pour ces lieux alors que le chien les évite. Le chat semble posséder une capacité à utiliser ces ondes, ou ces émissions, à son avantage. Contrairement à ce que l’on pense les crapauds et autres salamandres ainsi que les souris et plus encore les chauves-souris tolèrent assez mal ces perturbations telluriques et, comme les hirondelles, préfèrent les endroits sains.
En Chine le fait de posséder une maison accueillant un crapaud, des souris ou, mieux encore, des chauve souris a toujours été considéré comme une source de tranquillité. Cela explique que de nombreux motifs décoratifs comportent ces animaux, considérés comme hautement bénéfiques, souvent très stylisés.
Dans le jardin certains légumes comme le céleri, le concombre, les oignons, le maïs et l’artichaut sont particulièrement sensibles et présentent de nombreux problèmes si le réseau Hartmann est perturbé. Ce qui n’est pas le cas des solanées comme la tomate, l’aubergine ou la pomme de terre qui ne semblent s’en porter que mieux. D’autres plantes, par contre, permettent d’assainir ou de restreindre ces perturbations. Ce sont le buis, le lierre, les groseilliers et groseilliers à maquereau, les genets, la bruyère ainsi que les haies vives formées d’épineux. Dans le même ordre d’idée les conifères et à plus forte raison les saules et les aulnes permettent de restreindre les déséquilibres électromagnétiques en drainant le sol en profondeur.
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Comment éviter ou restreindre ces perturbations ?
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Il convient tout d’abord de les mettre en évidence soit par l’observation de divers phénomènes soit par l’utilisation de divers appareils utilisés en géobiologie. Cela va de la simple baguette de sourcier en passant par le pendule, la boussole, la baguette coudée, l’antenne Lecher, principalement destinée à mettre en évidence le réseau Hartann, jusqu’à des appareils beaucoup plus complexes dont il existe désormais toute une panoplie plus ou moins spécialisée.
Ces divers appareils très précis sont destinés à mesurer les variations souvent infimes concernant les hautes fréquences ou les micro-ondes, les radiations ionisantes, c’est à dire les rayonnements alpha, bêta, téta et gamma, les pollutions électromagnétiques, les anomalies de densité du champ magnétique continu de l’écorce terrestre, l’ionisation atmosphérique, le champ électrique statique.
Chaque géobiologue possède plus ou moins sa propre méthode d’investigation et le souci d’un calcul plus ou moins précis de ces variations qui pour être infimes n’en sont pas moins présentes et souvent perturbatrices. Dans bien des cas l’appareillage complexe ne fait que confirmer un simple diagnostic opéré par simple sensation ou observation d’un spécialiste qualifié dans ce domaine. La tradition explique, l’homme ressent, la baguette ou l’antenne détecte, le pendule amplifie, les appareils mesurent. Mais le résultat est souvent le même. Lorsqu’il existe une réelle perturbation elle ne passe pas inaperçue… sauf pour ceux qui refusent l’évidence. De même, suivant les méthodes et les écoles, chacun peu proposer des solutions différentes pour tenter de régler le problème. Les tenants du rationnel proposent d’imperméabiliser l’habitat contre la pénétration du radon en évitant, en particulier, les fissures au niveau du sol et en ménageant, d’autre part, une aération permanente.
Les géobiologues tiennent également compte de ces fissures qui, à leurs yeux, perturbent le réseau Hartmann ou Curry ou Peyré et qui créent aux endroits de jonction des champs de force perturbateurs. Les adeptes du Feng Shui plus classique constatent de leur coté que ces failles sont autant de blessures qui perturbent les “Veines du Dragon”, générant ainsi le passage des “Gui” (Kouei), entités perturbatrices, porteurs de Xieqi ou Sha Qi (énergie perverse, pathogène ou “souffle tueur”) et chacun apporte diverses solutions plus ou moins pratiques à ce type de problème, à commencer par le choix du terrain et des matériaux utilisés dans l’habitat.
Il peut, néanmoins, se dégager de ces diverses théories plusieurs constantes pratiques :
– les sols anciens constitués de roches telles que le basalte, le porphyre, le granite, le gneiss sont des sols paramagnétiques qui agissent comme des aimants. Ils sont donc d’une part à forte concentration électromagnétique et d’autre part producteurs immédiats de radon.
Il convient donc de restreindre l’électromagnétisme par le choix de matériaux inertes et naturels comme le bois, la terre, les étoffes naturelles (lin, laine, chanvre, coton… ). Dans la mesure du possible il vaut mieux que l’habitat soit constitué du moindre nombre de matériaux différents… éviter les mélanges entre la pierre, le béton, l’acier, le verre.
Il convient aussi d’éviter les fissures entre le sol et l’habitat quitte à isoler le sol de la cave par du béton imperméabilisé. Ces sols ont, par contre, l’avantage de ne présenter que fort peu de cavités souterraines ou de cours d’eaux en sous sol immédiat. Ils sont donc tout à fait favorables pour créer un espace contenant de l’eau (bassin, fontaine, abreuvoir) et d’utiliser des arbres modérateurs comme le saule, l’orme, les fruitiers. Dans les tracés décoratifs, préférer les lignes droites et les angles ouverts.
– Les sols plus récents, comme les sols sédimentaires, constitués de calcaire, de craie, de marne, de grès sont des sols diamagnétiques. Ils ne présentent généralement qu’une faible concentration électromagnétique et sont peu producteurs de radon.
Il convient alors de motiver l’électromagnétisme, d’éviter qu’il stagne, par le choix de matériaux fortement conducteurs utilisés en complément de la construction comme l’acier, le cuivre, le bronze, l’aluminium, le verre… quitte à disposer des pierres de la catégorie précédente (granite, porphyre, schiste… ) à proximité de l’habitat.
Il est possible d’utiliser des matériaux de décoration comme les enduits, le papier peint, les peintures vinyliques. Les fissures entre l’habitat et le sous sol ont moins d’importance et le sol de la cave peut demeurer en terre battue. Ces sols ont l’avantage d’une plus grande stabilité ainsi que d’une plus grande inertie aux mouvements telluriques. Ils produisent également moins de radon. Ils ont, par contre, l’inconvénient de présenter en sous sol un risque de cavités et de rivières souterraines, sinon de dépôts miniers et autres choses enfouies au cours ders âges (anciens cimetières, galeries de souterrains, mines désaffectée, fosses d’aisances abandonnées… ). Mieux vaut donc éviter de créer des espaces contenant de l’eau dormante… et dans la mesure du possible il convient même de supprimer ceux qui existent naturellement. Il est préférable d’utiliser des arbres favorisant le mouvement d’énergie entre le sol et le ciel comme les pins, les peupliers, les if, les buis.
Dans les tracés décoratifs éviter les lignes droites ou les courbes trop accentuées. Il est possible de drainer le terrain des stases électromagnétiques en plantant quelques piquets en fer ou en disposant, aux endroits judicieux, quelques pierres levées.
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